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AccueilDécouvertesL'écho des marquesApidura revisite sa gamme Backcountry

Apidura revisite sa gamme Backcountry

Le bikepacking est vraiment la solution universelle pour transporter sur n’importe quel type de vélo votre bagage. Que ce soient les VTT, les vélos de route, les vélos urbains, … ces sacoches s’attachent sur votre cadre et ne nécessitent aucun dispositif fixe ou mobile pour s’accrocher au vélo. On n’hésite plus à fixer sur nos cadre, ces sacoches particulièrement « attachantes ».

Référence historique dans le monde des sacoches de bikepacking, la marque Apidura a remis au goût du jour sa gamme Backcountry dédiée à cette pratique du voyage léger à vélo, grâce à un tissu technique et étanche idéal pour rouler avec l’essentiel en toute saison.

Nouveau tissu étanche

Apidura Backcountry : la gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour
Apidura Backcountry : la gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour – photo Apidura
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Pouvoir profiter au maximum de toutes ses aventures à vélo. C’est en ce sens qu’Apidura a voulu faire évoluer sa gamme Backcountry. Ces sacoches de vélo pour bikepacking, ou l’art de rouler avec l’essentiel, se composent désormais d’un mélange de tissus (tissu laminé 4 couches VX21 et nylon 420D) offrant une  étanchéité complète et une  meilleure durabilité contre l’abrasion ou les frottements. De quoi permettre au cycliste d’utiliser ses sacoches maniables et légères en toutes circonstances – que ce soit pour une longue balade, un week-end prolongé ou un grand séjour important – sans s’inquiéter de la météo ou des terrains sur lesquels il déambule.

Sur le guidon

Apidura Backcountry La gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour
Apidura Backcountry sur le guidon

Disponible en 7 ou 11 litres, selon les préférences, la sacoche de guidon Apidura Backcountry permet de transporter des équipements encombrants : vivres, vêtements, duvet, gros appareils électroniques…

Prix : Dès 112.99€ TTC

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Avec un volume de 4L , la poche pour sacoche guidon Apidura Backcountry sert à glisser les affaires à avoir sous la main rapidement (smartphone, appareil photo, collation, porte-monnaie …) 

Prix : 68.99€ TTC

Pour le cadre

Les petites choses sur le tube supérieur

Apidura Backcountry La gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour
Petites sacoches pour le cadre

Pour ranger les petits objets de valeur ou souvent utilisés, trois modèles se fixant sur le tube supérieur, se fermant par fermeture Éclair et facilement accessibles, existent :

Sacoche avant sur top tube format 1 L – Prix : 59.99€ TTC
Sacoche avant sur top tube format 1.8 L version allongée – Prix : 82.99€TTC
Sacoche arrière sur top tube 1 L – Prix : 64.99€ TTC

Pour ce qui est lourd

Apidura Backcountry La gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour
Pour le cadre

Pour les affaires lourdes (outils, éléments de cuisine, eau, vêtements épais, …), même sur la distance, il est possible de compléter son équipement avec ces modèles :

Sacoche basse 1.8 L sur tube diagonal – Prix : 64.99€ TTC
Sacoche 2 L pour cadre – Prix : 94.99€ TTC
Sacoche triangle pour cadre 2.5 à 6 L – Prix : dès 159.99€ TTC

Derrière la selle

Apidura Backcountry La gamme de sacoches vélo bikepacking remise à jour
Derrière la sele

Alternative au montage d’un porte-bagages à l’arrière du vélo, la sacoche de selle Apidura Backcountry est, quant à elle, pensée pour les équipements plus légers ou compressibles. Elle a une grande contenance de 4.5 à 6 L en fonction des besoins.

Prix : Dès 139.99€ TTC

Les sacoches Apidura Backcountry sont disponibles sur Lecyclo.com

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Rédaction Bike Café
Rédaction Bike Caféhttps://bike-cafe.fr
La rédaction de Bike Café vous propose de nombreux articles issus de communiqués qui nous parviennent via les agences de presse des marques, de organisateurs, des clubs, ... et de tests réalisés par nos rédacteurs. Nous en faisons une sélection pour vous informer régulièrement de l'actualité.

11 COMMENTAIRES

  1. Equipement : Sacoche de cadre 6L + guidon 11L + selle 6L + tube diagonal 1,8L
    Total 24,8 L, 497 €, 980g. Gamme Backcountry non étanche. Plusieurs minutes pour tout charger/décharger du vélo. Centre de gravité élevé.

    Comparaison avec sacoches Arkel Dryl Lite sur PB Tubus Fly
    Sacoches 25 L (la paire): 93€ + PB Tubus Fly 400g 64€
    Total : 25L, 940g, 157€
    Quelques secondes pour défaire la paire de sacoches, la trabsporter à la main (dan le train, par exemple). Sacoche imperméable. Place sur porte bagages pour la tente si on ne veut pas la mettre dans la sacoche.

    Tout est dit.

    Le bikepacking est super pour le VTT, mais pour le gravel/route, c’est une mode (sauf ceux qui ont des vélos sans possibilités de fixation, mais il faut être prévoyant et choisir le bon vélo. Désormais, ça existe.

    • Je ne comprends pas votre remarque : les Backcountry sont complètement étanches (420D, du même acabit sinon mieux que le 400D des sacoches que vous mentionnez).
      Sac de tube (1.8L, 200g, 79€) + sac de cadre (2L, 150g, 89€) + sac de selle (6L, 290g, 139€) : 640g pour 310€ et je stocke le couchage, la tente, une tenue de rechange, les outils, la popote. C’est un peu cher mais très solide et suffisant, et surtout modulable.

      Je ne constate pas vraiment de problème lié au centre de gravité, je pense que c’est dû à la répartition des éléments. Par contre je n’ai aucune gêne pour rouler « technique » sur certains sentiers, et ne ressens aucun poids lourds à l’arrière dans les côtes comme avec les sacoches (c’étaient des Ortlieb) et les talons n’accrochent rien à l’arrière.

      Je pense que les sacoches sont une solution type « tour du monde » avec emport maximum, ou pour rouler cyclo-touriste, mais les sacs souples ont toute leur place sur la route quand on veut rouler vite, sans gêne de poids arrière (pour une diagonale c’est parfait), ou avec un comportement de vélo proche du vélo « à vide ». Surtout pour quelques jours.

      Je comprends les remarques « gravel, donc mode, donc cher pour rien », mais je les trouve un peu rétrogrades (opinion toute personnelle) et surtout ça ne me semble pas tout à fait correct. A part pour le prix, concernant certains éléments.
      Peut-être une question de génération ? Ou d’installation dans sa pratique ?

      Je comprends que vous ne soyez pas adepte, mais de là à dénigrer, sur la base d’arguments de mauvaise foi…

      • Bonsoir ggd,

        Je serai intéressé de connaître le materiel que vous prenez pour faire un bikepacking et comment organisez vous le rangement ?

        C’est vraiment un sujet que je trouve le plus important en terme de test de matériel, parce que c’est bien beau de mettre le prix dans de multiples sacoches disséminées un peu partout, mais j’ai du mal à m’imaginer le rangement et le matériel de bivouac associé.

        D’avance merci pour votre retour (et perso, je suis preneur d’un article approfondi sur le sujet).

        • Bonjour Lucien,

          Je charge un sac de couchage dans le fond de la sacoche de selle (en vrac, pas en sac pour qu’il épouse au mieux le « bec »). Et je place le matelas ThermaRest avec un cuissard/maillot.
          Il y aurait de la place je pense pour la toile de tente (une Camp Minima SL1) mais je pose tout sur le guidon, avec des sangles scratch, dans un autre sac que celui d’origine qui est moins bien qu’un vieux Decathlon… C’est plus pour répartir le poids et garder la cohérence du rangement. Par contre ce ne doit pas être étanche.
          Sur mon cintre de 44 j’ai bien la place de chaque côté pour les mains (ça a été un critère décisif). Et ce n’est pas trop lourd, même si je pense qu’il y a mieux (et beaucoup plus cher).
          Du coup à la place je mets la doudoune compressée quand il s’annonce mouillé (au lieu de la rouler avec la veste imper sur le cordage du dessus).
          Maintenant, au vu de la discussion sur l’étanchéité plus haut dans ce fil, je commence à me demander si je ne devrais pas faire autrement…
          Dans le sac de cadre, je mets batterie externe/outils/(toute)petite pharmacie/sachets repas et crux/manchettes/jambières/opinel.
          J’ai aussi une poche à eau (vide à plat, sans tube) pour l’eau du soir.
          J’ai un grand bidon sur le tube de selle, et l’autre est plus petit sur l’avant. Il faut un peu pousser, c’est vrai, même avec le porte-bidon qui charge par le côté…
          En faisant le résumé je m’aperçois que je n’emporte plus de chambre à air depuis que j’ai mis du tubeless. Ce n’est pas très prudent, finalement.

          Evidemment, il faut pouvoir ravitailler en route (eau, repas du midi): c’est le point faible. Je n’ai pas tenté de rouler très loin ni exotique et j’ai toujours trouvé de quoi faire un sandwich. En fait je fais comme je faisais à pied, mais en éclatant le chargement, et en comptant beaucoup plus sur les boulangeries/épiceries.

          C’est vrai qu’un article sur les pratiques des habitués serait bien. Je pense qu’il y a plusieurs façons de faire, mais ça doit aussi dépendre de comment on gère son confort ?
          Un tarp prendrait moins de place/poids, ou un bivy, mais je ne sais pas si je saurais encore dormir comme ça. Je sais que certains dorment en hamac : jamais essayé.

          Cela dit, tout cette « légèreté » tombera à l’eau dès que la Petite voudra venir ! 😀

      • Bonjour GGD,

        Je suis attristé par l’usage de l’argument de mauvaise foi??
        Vraiment ? Sur quel point ?

        1) Etanchéité ?
        Sur le site Apidura, présentation de 2 gammes :
        – Expedition présentée comme étanche (waterproof) et
        – Backcountry, présentée comme (« all-weather »).
        Si Apidura prend la peine de faire le distingo, serais-je de mauvaise foi pour faire de même ?

        2) Votre équipement vous permet d’embarquer 10 l d’affaires. Moi, j’ai comparé à volume équivalent (25l). Super si vous partez avec très peu ; je fais de même donc je comprends bien l’intérêt d’une approche minimaliste.

        Mais mon propos était de comparer des choses comparables. Apidura vend un sac de cadre pour augmenter la capacité d’emport jusqu’à 24l. C’est donc cela que je comparais. Mauvaise foi ?

        Je pourrais aussi vous qualifier de mauvaise foi car vous comparez votre manière de voyager avec sacoches Ortlieb, effectivement conçues pour une approche Tour du monde, et votre approche minimaliste. En gros, vous dites : mon Land Rover il est nul, il ne tient pas la route et il est lent. Mon Alpine est beaucoup plus rapide. Mais je ne le ferai pas car il est riqué de juger des intentions des autres.

        Je me suis donné la peine de comparer des équipements comparables, et j’ai fait la recherche des prix sur le site donné.

        Comme tous les fanas du bikebacking, reprenant les arguments de la comm des marques et autres sites qui veulent faire de l’audience, vous associez :
        – sacoches avec lourdeur et volume de bagages
        – sacoches et autre génération.

        J’ai bien précisé que le bikepacking a des avantages, et moi-même part en bikepacking avec 2 de mes vélos. Il a aussi des inconvénients, ce que vous semblez nier.
        Je suis d’accord avec vous, si on choisit mal ses sacoches ou son porte-bagages, il peut y avoir des soucis. Mais c’est exactement la même chose si vous choisissez mal votre équipement bikepacking.

        Je trouve que les prix sont exorbitants sur ces marques (même si c’est de la qualité), et qu’on peut très bien voyager léger avec des sacoches, pour une fraction du prix, sans partir avec un Land Rover.

        De nombreuses personnes ont essayé le bikepacking car elles ont été séduites par l’idée de partir plus léger. Plusieurs sont revenues, ou mélangent désormais les 2 approches, à cause des difficultés rencontrées. Ils comprennent l’intérêt de partir plus léger et se rendent compte que c’est à chacun de choisir selon ses contraintes. LE bikepacking n’est pas la solution miracle qu’on présente mais une excellente solution dans certains cas.

        S’il devait exister un vrai miracle, ce serait de découvrir la sobriété et l’allègement. On nous prend pour des pigeons de penser que le prix de ces articles est le juste prix.

        Si on fabrique en volume et industriellement, on peut descendre les prix. Mais on a mis dans la tête des gens, grâce à l’effet de mode, que ça coûte vraiment ça, en prenant exemple sur des artisans qui font du sur-mesure, comme quand eux-mêmes ont commencé dans un garage (temps où le manque d’industrialisation entraînait des coûts de main d’œuvre très élevés). Apidura a dépassé ce stade, mais ils continuent de faire payer le prix comme s’ils faisaient tout à la main au R-U (alors qu’ils fabriquent en Chine).

        PS : la question de comment charger en bikepacking est récurrente et apparaît ici. Ca n’est pas surprenant. Avec autant de contenants, de formes si étriquée, c’est un vrai tétris.
        2 sacoches simples sont beaucoup plus pratiques car le chargement est plus souple, et l’espace théorique est plus facilement disponible réellement.

        • Bonjour Vince,

          Désolé de vous attrister, ce n’était vraiment pas mon intention.
          L’article présente la gamme comme étant étanche (deuxième paragraphe, titre de la photo, troisième paragraphe/deuxième phrase : « offrant une étanchéité complète »). Le site d’Apidura aussi (https://www.apidura.com/shop/backcountry-saddle-pack/) : « waterproof fabrics » dans la partie « Description » et « welded together at the seams, creating a watertight seal that ensures the saddle bag remains completely waterproof. » dans la partie « Materials and Care ».
          C’est pour ça que je trouvais l’argument de mauvaise foi. Ou alors nous ne parlons pas de la même chose.

          Pour ce qui concerne la comparaison Land Rover/Ferrari, je ne vais malheureusement pas pouvoir argumenter (faute d’expérience ! :-D) mais je pense avoir saisi la teneur. Cela dit, je ne compare rien du tout : c’est vous qui avez amené la discussion sur ce point (« Le bikepacking est super pour le VTT, mais pour le gravel/route, c’est une mode »).
          C’est justement pour ça que j’ai réagi : ça me semble le contraire : le bikepacking est très bien adapté au vélo de route, surtout quand il n’y a pas de fixations pour porte-bagages. Les vélos d’endurance en carbone sont rares à les proposer, et je ne pense pas qu’ils soient toujours présents sur les Gravel non plus.
          L’avantage des sacs souples sur mon vélo, c’est que je ressens moins ce poids à l’arrière, notamment dans les montées. Mais vous avez sans doute raison, les SportRoller sont plus lourdes que celles que vous mentionnez.

          Pour le prix, oui, c’est cher. Trop sans doute, mais ce n’est pas propre au bikepacking… La mode ? Oui et non : bien sûr que le phénomène de nouveauté et la publicité en font des tonnes et tirent les prix vers le haut, mais les autres produits également.
          Toute nouveauté n’est pas progrès, mais ce n’est pas une raison pour disqualifier en fonction de ses propres préjugés, de façon péremptoire et définitive (« Tout est dit »). Vos propos, tels que je les avais compris, vous plaçaient dans la catégorie des gens qui condamnent toute nouveauté parce que ça ne correspond pas à leurs habitudes, qui marchent très bien pour eux. C’est pour ça que j’ai parlé d’installation dans sa pratique, ou de génération : pas mal de cyclos que je rencontre utilisent sacoches et sac de guidon (avec adaptateur), mais plus par habitude et parce qu’ils ne ressentent pas le besoin de changer. Ca me paraît valable, je ne les disqualifie pas sur le compte de l’ancienneté ou du non-suivi du « mouvement ».

          Reste que : mon vélo de route n’a pas d’attaches et je ne peux pas poser de porte-bagages. Le bike-packing répond à mon problème.
          Le centre de gravité est sans doute plus élevé, mais je ne ressens pas la même gêne qu’avec les sacoches (que j’avais utilisée sur un autre vélo, également plus lourd). Et là, mes talons n’accrochent rien (pointure 45) !

          Fabriqué en Chine, oui, c’est vrai. Ca me gêne moins que le transport que ça induit… Mais j’avais noté, et jeté un coup d’oeil chez Helmut : il fallait des adaptateurs (un peu comme Caradice), et ma tige de selle étant en carbone, j’avais une moyenne confiance dans les contraintes imposées à cet endroit.
          Restrap fabrique en Angleterre je crois. Le système d’étui ne m’avait pas séduit (peut-être à tort).
          Décathlon ne proposait rien quand j’ai prospecté, apparemment ils vont lancer une gamme : ce sera sans doute moins cher, mais certainement fabriqué en Chine…

          Je n’ai jamais pensé que le bikepacking était une solution miracle, il ne me semble pas l’avoir dit. Je n’ai jamais non plus pensé que les sacoches étaient « dépassées », ou peut-être par la mode que vous évoquez : mais, « et alors » ?
          C’est la solution que je retiendrais si je partais loin (de toute possibilité de ravitaillement/réparation) ou longtemps. Mais ce ne serait plus le même vélo, ni la même allure, et pour l’instant (enfin, pas en ce moment…) c’est ce qui me plaît.
          Le fait de rouler avec un même vélo de façon _presque_ pareille (attention, notez bien le « presque » !), je trouve ça sympa. Ca n’empêche pas d’avoir gardé l’ancien vélo sur lequel, oui, je pourrais mettre des sacoches…

          Par contre je vous ai trouvé fort catégorique, et c’est ce qui m’a gêné : je pense qu’il ne faut pas non plus tomber dans l’attitude inverse.
          Surtout sur la base d’arguments qui m’ont semblé ne pas être justes.
          Je ne pensais pas non plus que ça occasionnerait un tel débat !

          Mais après tout, chacun voit midi, tout ça…
          Je vous souhaite quand même bonne route. Ou chemin. Ou les deux.

  2. Hello Vince,

    Pratiquant le gravel depuis 1 an maintenant et ayant une très grande expérience en randonnée (6 mois sous tente). Je n’arrive toujours pas à comprendre comment faire du backpacking sérieusement.
    J’ai une bob ibex pour me balader en famille (je porte la tente et le gros du matos) mais de là à faire du voyage itinérant en gravel (en autonomie totale ou proche).
    Je n’y crois pas vraiment.
    Quand je vois le niveau de technicité et le prix pour être léger… autant partir en tarp… et perso je préfère dormir chez l’habitant ou sous un abri, voir à la belle étoile si les conditions sont favorables.
    Bref on est dans le gravel c’est la mode… et on fait péter les tarifs.
    Espérons que ça se calme.

    Rien à dire sur apidura c’est du très bon matos mais pour porter quelques vêtements et un peu de nourriture.
    Pour l’idée de 7 jours en autonomie faut oublier.

    Effectivement, l’approche sacoche est plus raisonnable et à bien démontrée depuis des années son efficacité sur les routes du monde.
    Merci pour le partage de cette marque.

    • Je pars en bikepacking avec sacoche simple, fixation de mon sac de couchage sous la selle etc., (sans matos hors de prix) lorsque je pars pour une randonnée (pardon, une « aventure ») avec un vélo non équipé, pour 2 ou 3 jours max, quand j’ai consulté la météo, ou que je dors en Warmshowers. L’objectif est de rouler de longues étapes, en escamotant la partie « tourisme ». C’est une pratique orientée vers la perf (d’où le rôle crucial des réseaux sociaux car le bikepacking n’existerait pas de la même manière sans eux).
      J’en fais un peu (mais sans RS), mais cela ne m’empêche pas de partir avec sacoches en vacances en voyage de 1 ou 2 semaines.
      Ca n’est pas la même pratique et c’est ce qui m’énerve quand on oppose les 2 eavec l’argument sous-jacent que les sacoches c’est « has been ».

      Bonnes vacances à vélo.

      • Merci beaucoup Vince pour la qualité de tes réponses et ton honnêteté intellectuelle.
        Je testerai bien une approche bikepacking léger (ultra léger devrait-on dire 😉 avec duvet et sur-sac + tapis sol. Et quelques fringues (sans réchaud) avec repas chaud le midi et froid le soir. Pour 2/3 jours max.
        Et pour la version plus conséquente avec météo non prévisible, la c’est la bob qui suivra mais avec une toute autre vitesse 😉
        Encore merci pour le partage d’informations.

  3. Bonjour/bonsoir tout le monde.

    J’ai testé les grosses charges et l’équipement lourd (ortlieb sur vélo couché) ainsi que les petites sacoches (topeak sur gravel et fatbike). J’ai aussi bouffé beaucoup de vélotaf avec sacoches variées sur vélos variés. Chaque composition a ses plus et ses moins.

    N’oubliez pas certains détails pratiques, j’en rajoute une couche :
    -enlever la bagagerie en bikepacking et la transporter quand on descend du vélo, c’est la misère / c’est facile de bouger deux sacoches rigides
    -s’il fait frais ou froid, le matériel nécessaire adapté au bikepacking léger est TRES TRES TRES cher / on peut vite recycler des trucs plus basiques avec des sacoches classiques
    -en tout terrain, c’est vite affreux d’avoir tout le poids sur l’arrière avec les grosses sacoches / on s’en sort mieux en mode bikepacking
    -pour aller vite, le mode bikepacking léger est incomparable (pour le commun des mortels, j’ai un copain qui pouvait suivre des routards avec le vélo couché chargé, on peut même pas comparer) / on se traîne avec le gros chargement en sacoches arrières

    Tout est affaire de durée, de destination et d’endurance… Tout le monde ne fait pas des diagonales ou la french divide… Un big up à Alexandera Houchin, la demoiselle qui a traversé les Rocheuses en single speed, en rangers, avec la moitié du matos qu’on prendrait tous : https://bikepacking.com/news/alexandera-houchin-2019-tour-divide/

    Perso, j’ai bien accroché au concept léger pour des escapades sur deux jours. C’est fou ce qu’on peut faire avec un combo hamac/duvet… J’ai trop lu 200, vive la micro aventure. 🙂 Après, ça fait vite léger…

    Même chose pour de la rando à pieds. C’est bien de partir léger… Jusqu’au moment où il faut faire avec des enfants, les changements de météo, etc… Je viens par exemple de me payer un sac de rando de 80l. On m’a regardé bizarre au magasin… Pour le dernier bivouac familial, j’ai embarqué la tente 4 places, trois tapis de sol, deux sacs de couchage (pour dormir à 0°), les 3/4 de la bouffe et 2 l de flotte sans avoir à me poser de questions. J’ai marché doucement mais ça a fait. Impossible faire ça en mode light à moins claquer 2000 boules de matos ou plus…

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