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Good vibes only … avec les cintres Baramind

Nous sommes, pour l’immense majorité de la communauté vélocipédique, en quête de confort quelque soit la pratique et le niveau de cette pratique. Cette recherche s’accentue ces dernières années, motivée par l’apparition ou le développement de pratiques longues distances et ultra. De fait le paradigme confort = performance a fait son chemin, et tordu le cou à de nombreuses idées reçues. Pour preuve, l’élargissement des pneus, la baisse de leur pression, les géométries pensées plus confort, la proposition florissante d’études posturales, l’amélioration des suspensions, l’apparition de système flex dans la douille de direction, la potence ou le cadre même, … 

Le cycliste veut du confort, de la ouate, de la douceur, de la tendresse et puis c’est tout ! 😊

Quand on pense confort, on pense immédiatement à la selle pour le bien-être de son séant, la position sur le vélo, les suspensions, la pression des pneus, la qualité du cuissard… Mais nous pensons moins naturellement aux qualités intrinsèques de notre cintre à part sa taille, son ergonomie et sa forme. Et pourtant, il fait partie d’un des points d’appuis important et capital dans notre confort sur le vélo, en particulier pour le haut du corps impactant le système mains/bras/épaules/cou/dos.

Cette tendance de quête de confort ultime est relativement récente mais les créateurs de Baramind étaient visionnaires de la performance liée au confort, puisque la genèse de la société spécialisée dans les cintres anti-vibrations et antichocs remonte à 2008. Quelques concepts similaires avaient fleuri au balbutiement du VTT, mais ils étaient vite tombés aux oubliettes.

Bike Café a eu l’occasion de rencontrer les créateurs de la société Baramind au printemps dernier, et de tester leur modèle VTT sur plusieurs mois quelques milliers de kilomètres en mode bikepacking, bikeparc et baroudes à la journée.

Présentation de Baramind, only good vibes

Contrairement au nom sonnant « american », Baramind est une société française basée aujourd’hui en Isère.

Nicolas et François, les fondateurs, terminent en 2008 leur Master Professionnel en Conception, Ergonomie et Ingénierie de matériels sportifs à Chambéry. Lors de leur dernière année d’études, ils doivent réaliser un projet de fin d’études en lien avec leur spécialité. Pratiquants cyclistes et remarquant que le sujet du cintre et de son confort intrinsèque était peu pris en compte, ils décident, avec un troisième compère qui ne se lancera pas dans l’aventure entrepreneuriale par la suite, d’axer leur projet sur la conception d’un cintre plat VTT anti-vibration et antichocs.

Good vibes only ... avec les cintres Baramind
François et Nicolas, les deux créateurs de Baramind, photo Hugues Grenon

Ils étudient le projet, trouvent des partenaires et sous-traitants et réalisent des prototypes. Ils s’inscrivent également à différents concours d’innovation et gagnent un concours organisé par la ville de Laval en Mayenne. Pour bien connaître cette ville, Laval est une ville très dynamique, en pointe dans les nouvelles technologies (c’est un des centre phare mondial de la réalité virtuelle par exemple) et désireuse d’attirer et d’accueillir de jeunes talents portant des projets innovants.

Boostés par ce prix, les quelques milliers d’euros gagnés et les contacts pris localement, ils décident de se lancer dans l’aventure et s’installent au Technopole de Laval. La création et le développement sont encouragés par la Région Pays de la Loire, et un fonds d’investissement bancaire. Baramind est lancé en 2010. Comment leur est venu le nom Baramind ? Deux sources d’inspiration à ce nom : « bar a mind » « cintre pensant », « cintre intelligent » croisée avec le terme français baramine, l’antithèse du cintre « intelligent ».

Les premiers cintres VTT sortent en série en 2011, produits par des sous-traitants locaux. En 2012, une seconde phase de développement permet d’élargir la gamme aux cintres « city », qui seront commercialisées en 2015 grâce à un projet collaboratif mêlant industriels, l’Ecole d’Ingénieur ICAM de Nantes, des partenaires et investisseurs.

En 2018, un troisième modèle de cintre est lancé, le cintre Trek, sur le même procédé de fabrication que le City, à savoir l’utilisation de composites aéronautiques. Ce cintre est destiné à des vélos flatbar comme des vélos électriques  sport, fitness ou urbains.

Les deux porteurs de projet se répartissent les tâches : Nicolas s’occupe de la partie commerciale et marketing et François de la partie R&D et production.

Leurs cintres équipent à ce jour des vélos en monte d’origine ou en after market en commandant sur le site Baramind directement.

Par exemple, Baramind équipe certains  vélos Moustache, marque française de vélos électriques. On les trouve en option proposée sur le configurateur Origine pour les modèles Trail et Graxx en montage flat Bar. Ils équipent également les vélos Santos, marque néerlandaise un peu méconnue dans l’hexagone, mais qui mérite un coup d’œil.

À noter également que Baramind était le distributeur France de la marque Chiru jusqu’en 2018 et que les coureurs du team VTT Chiru / Magura étaient équipés de cintres Baramind à l’époque.

La promesse Baramind : filtrer les vibrations et amortir les chocs.

Les cintres Baramind ont pour vocation de filtrer les vibrations et amortir les chocs en apportant du flex pour apporter plus de confort, moins de fatigue musculaire et prévenir les troubles musculosquelettiques.

La gamme se composent de trois cintres : un cintre City, un cintre Trek et un cintre VTT.

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Le cintre VTT en haut, City et Trek en bas, photo Hugues GRENON

Le principe historique est le même sur tous les cintres : réalisés en matériaux composites, ils sont dotés d’inserts plastiques qui permettent une flexion vers le bas mais bloquent la flexion vers le haut dans le but de garder de la maniabilité, d’éviter l’effet « chewing gum » et de pouvoir tirer vers le haut en gardant la rigidité d’un cintre classique.

Les cintres City et Trek sont en matériaux composites issus de l’industrie aéronautique mixant fibre de verre et matrice plastique avec des inserts plus chargés en fibre de verre.

Le cintre VTT est composé de fibres de carbone et fibres de verre.

La fibre de verre apporte du flex et la fibre du carbone plus de rigidité.

Tous les cintres sont fabriqués en France ce qui permet de maîtriser toute la chaîne, de la conception à la production. Les tests de normalisation sont réalisés en Allemagne par l’institut Zendler et dépassent la norme ISO 4210 en vigueur pour ce type de composant.

Esthétiquement, visuellement et au toucher, le rendu qualitatif est de haut niveau.

Au niveau vibration, des tests avec accéléromètres au niveau du poignet, des extrémités du cintre et de la potence ont été réalisées afin de mesurer l’absorption vibratoire des cintres en comparaison avec des guidons standards du marché, alu et carbone. Les résultats ont montré une atténuation significative des vibrations au niveau des poignets par rapport aux autres matériaux habituels. Regardez sur cette vidéo le travail du cintre, c’est assez impressionnant :

Quant est-il réellement sur le terrain ? Présentation et test du cintre VTT.

Le cintre BAM MTB

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Le cintre BAM MTB nu en carbone/fibre de verre avec les inserts composite tenus par des inserts alu, photo Hugues Grenon

Le cintre VTT est à l’origine du projet de création présenté en introduction. Ce cintre s’est amélioré et a évolué au fil du temps. Ce tout dernier modèle a fait l’objet d’un développement de trois ans, pour aboutir en 2021 au modèle BAM MTB testé et présenté ici.

Il a été testé et utilisé par des coureurs longues distances comme Joachim Mendler, un des meilleurs spécialistes français des 24 h et d’ultra endurance ou Frédéric Gombert, champion de Franc XC Marathon en 2016.

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Fédéric Gombert, champion de France XC Marathon en 2016 en action avec son VTT équipé d’un cintre custom Bleu/Blanc/Rouge Baramind, photo Baramind

Le cintre est composé d’un tressage de fibres de verres et de carbone, réalisé autour d’un noyau en PU injectée.

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Tressage des fibres de verres et de carbone autour d’un noyau en mousse PU injectée, photo Hugues Grenon

Il est lié par de la résine Epoxy, chauffée puis passée dans une presse avec une pression de 100 bars.

Les différentes étapes de fabrication, jusqu’au produit fini sont visualisées sur la photo ci-dessous.

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Les étapes de la fabrication, photo Hugues Grenon

La partie centrale plate reçoit les inserts en composite qui tiennent, via des inserts aluminium, au centre et de chaque côté.

En partie haute des inserts très rigides sont positionnés pour qu’il n’y ait aucun flex en tirant sur le cintre.

En partie basse, deux types d’inserts sont livrés afin de choisir le flex désiré : soft ou hard. Pour ma part, étant en recherche de confort maximum et sur conseil de Baramind, je suis parti sur le montage des inserts softs d’entrée. Le cintre peut avoir une déformation maximale de 30 mm aux extrémités.

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Les inserts composites à positionner en partie basse soft ou hard, photo Hugues Grenon

Regardez la vidéo ci-dessous qui permet de voir la déformation, c’est assez parlant et révélateur des capacités d’absorption des chocs et vibrations en complément du travail de la fourche et des autres composants techniques et humains, le premier amortisseur étant son propre corps via ses jambes et ses bras.

La potence vient se serrer au couple sur les inserts alu centraux.

À noter que l’épaisseur du cintre est généreuse et réconfortante ! Ce n’est pas un poids plume même si en matériau composite, mais ce n’est pas son objectif premier. Il se situe plutôt même niveau que celui d’un cintre alu de moyenne gamme et rend 100 g à un cintre carbone environ.

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Pesé à 287 g pour 290 g annoncé, pas un poids plume mais son objectif est ailleurs et le bénéfice « confort » vaut bien quelques grammes, photo Hugues Grenon

Comme dit plus haut, au montage, serrez le cintre à la potence au couple indiqué de 6 N.m. Pour les accessoires, le couple de 3 N.m est à ne pas dépasser. Pas trop d’inquiétude, c’est du costaud et la garantie est de 5 ans.

Le BAM MTB est conçu pour des potences en 31,8 mm et il a une largeur de 72 cm. À noter que le cintre est épais, et donc le diamètre intérieur assez réduit. Il ne permettra pas de positionner dans le cintre certains kits « cachés » type kit mèches ou outils.

Le backsweep (angle de « retour du cintre vers l’arrière » ou degré d’incurvation vers le pilote) est de 9°. Le Up Sweep (angle de remontée verticale du cintre) est de 4°. L’ergonomie a également été travaillée avec ces angles qui font que les poignets tombent naturellement sur le cintre.

La couleur carbone/noir avec inserts alu est vraiment qualitative.

La finition est exemplaire et magnifique. Les fibres tressées sont de toute beauté, surtout avec les reflets du soleil.

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Montage au couple du cintre et des accessoires, une superbe finition des fibres composites tressées, photo Hugues Grenon

Le prix est de 199 €, nous en reparlerons dans l’avis final.

Le test terrain

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Un cintre fait pour enchaîner les heures de ride et de plaisir, photo Hugues Grenon

Pour ma part, le confort est le critère numéro 1 recherché dans mes pratiques cyclistes. Pouvoir rouler longtemps, le plus confortablement possible, sans ou avec le moins de douleurs possibles, est une sacrée quête car cela dépend de tellement de paramètres, à la fois techniques et humains : une recherche infinie.

Comme indiqué en introduction, le cintre est un des points d’appui importants du cycliste sur le vélo. Sa forme, ses dimensions, les grips utilisés, les gants vont influer sur le confort global du cycliste.

Les chocs et vibrations ressenties vont au fur et à mesure de la ou des sorties fatiguer et user le cycliste. Sans rentrer dans le détail de la science des phénomènes vibratoires, les vibrations dépendent de l’accélération exprimée en m/s² selon 3 axes X,Y et Z, de la fréquence en Hz des vibrations, de la durée d’exposition c’est-à-dire le nombre d’heures de selle et de la partie du corps qui reçoit les vibrations. Leurs effets peuvent entraîner différents troubles au niveau des membres supérieurs : troubles vasculaires, sensibilité au niveau de la main, troubles ostéoarticulaires voire musculaires.

En cyclisme les plus connus sont les troubles de sensibilité au niveau de la main avec une perte de sensibilité ou des fourmillements dû bien souvent au syndrome du canal carpien.

Les atteintes se font également sur le corps entier avec une augmentation de la pression intradiscale, des pathologies lombaires , cervicales ou des douleurs au niveau des épaules.

L’atténuation des vibrations du cintre est donc un des nombreux éléments qui peut rentrer en compte dans l’amélioration global du confort du cycliste et de sa santé.

J’ai pu essayer le cintre BAM MTB sur plusieurs mois, plusieurs terrains et sur des sorties de longueurs et durées variables, de 5 h à 14 h pour 200 km pour la plus longue lors de la Gravienne à Poitiers. Et aussi sur mes parcours tests de références comportant des sauts, racines et cailloux ainsi qu’en bike park.

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Un très bon test longue distance, 200 kms sur la première journée de la Gravienne à Poitiers, photo la Gravienne

J’ai également eu la possibilité de comparer le cintre et son confort par rapport à mon cintre habituel en aluminium.

Toujours difficile de juger des qualités ou défauts d’un seul composant par rapport à une multiplicité d’autres critères rentrant dans le cadre d’un système global intégrant l’humain. Des effets sont visibles immédiatement à court terme et d’autres à plus long terme ou de façon plus subtile.

Ce que j’ai pu constater immédiatement, c’est que les plus gros chocs sont amortis de façon bien plus importante qu’avec mon autre cintre. D’habitude, en enchaînant mon parcours test et les différents sauts, je finis irrémédiablement par avoir des petites douleurs dans les poignets. Ça n’a pas été le cas avec ce BAM MTB et aucunes douleurs ne sont survenus sur tous mes essais et parcours tests réalisés plusieurs fois. Y compris à la montagne sur des terrains plus engagés que par chez moi en Sarthe.

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Le BAM MTB va apporter un complément d’amortissement direct en liaison avec le système main/bras/épaules, photo Perrine Grenon

On voit bien sur la vidéo précédente que le cintre travail énormément sur les chocs importants et moins importants également en filtrant les irrégularités du terrain. Le cintre peut fléchir jusque 30 mm maximum aux extrémités.

Sur les micro vibrations, plus difficile de juger à chaud, mais ce que j’ai pu constater, c’est une diminution de la fatigue globale et l’absence de douleurs aux mains, poignets ou épaules à l’arrivée y compris sur mes longues sorties de plusieurs heures en terrain accidenté. Un vrai plus pour le confort et le bien-être sur le vélo.

Je pense donc que l’apport global aussi bien sur les chocs que les vibrations est bénéfique.

Un point important et une question qui vient de suite à l’esprit : la précision de pilotage et la rigidité. Pour ma part, je n’ai pas ressenti de perte de précision dans le pilotage. Quand on tire sur le cintre celui-ci est rigide et conçu pour ne pas fléchir vers le haut. Et sa flexion vers le bas n’a pas entravé ma précision de pilotage. Pas d’effet « chewing-gum » recensé.

Une précision à apporter : je n’ai testé que les inserts soft apportant le maximum de flexibilité et amortie. Je ne voyais pas l’utilité d’utiliser ceux plus hard alors que je trouvais le cintre parfait comme cela.

Pour qui ce BAM MTB ?

Ce cintre BAM MTB pourra intéresser plusieurs publics.

Les cyclistes pointus recherchant un confort supplémentaire qui ne sera pas négligeable. Il ne fait absolument pas doublon avec une fourche à suspension qui travaille sur son axe vertical via la colonne de direction et sur plusieurs centimètres alors que le cintre travaille sur toute la longueur des bras et des épaules sur des axes différents et sur les microvibrations également.

Pour ceux qui roulent sans fourche à suspension comme certains dividers, il apportera une touche de confort très appréciable. Il viendra en complément du moelleux apporté par les pneus larges généralement montés sur les types de vélos utilisés (Surly Karaté Monkey, Kona Unit, Sobre Dad ou fatbike pour ne citer qu’eux) ou sera un plus si des pneus plus fins sont utilisés.

Globalement, tous les vttistes longues distances qui enchaînent les longues journées sur le vélo type French Divide, courses marathons ou 24 h peuvent y trouver un vrai apport.

Mais aussi l’amoureux de beau matériel, conçu et fabriqué en France.

Le prix pourra être un frein mais se place au même niveau haut de gamme qu’un cintre en titane ou en carbone. On est là dans du matériel d’exception, pointu, conçu et fabriqué en France.

Les axes d’amélioration.

Selon moi il serait intéressant de proposer différentes longueurs, plus longues en particulier. Pour ma part les 72 cm sont parfaits par rapport à mes habitudes mais certains riders pourraient apprécier un cintre plus large.

Y-a-t-il une réelle utilité aux deux types d’inserts soft et hard ? Des riders très pointus verraient peut-être une différence mais je ne pourrais me prononcer étant déjà satisfait des softs et n’ayant pas utilisé les inserts hard. En gardant un seul type d’insert et en les intégrant directement comme les modèles City et Trek cela pourrait peut-être faire diminuer le prix de vente légèrement et simplifierait l’offre et le montage ?

Proposer d’autres couleurs des pièces de liaison en aluminium ? Pour aller au bout de la personnalisation, certains riders aiment assortir ou harmoniser leurs couleurs de périphériques. Donc, pourquoi pas les anodiser en noir pour être neutre et se marier avec toutes les couleurs du vélo et de ses composants soit proposer des couleurs anodisées spécifiques pour ces pièces. Cette dernière solution remet en question certainement le circuit de montage et logistique et demanderait un investissement supplémentaire à répercuter sur le prix de vente.

Les deux autres modèles de cintre pourront intéresser les riders qui roulent en gravel à cintre plat, en particulier le modèle Trek. Le prix est plus mesuré à 99 €.

Plus d’infos sur le site : https://www.baramind-bike.com/fr/

Conclusion

Good vibes only ... avec les cintres Baramind
Une touche supplémentaire de confort avec ce BAM MTB, en complément du cadre acier, de la suspension et des gros pneus, un vrai canapé ! photo Hugues Grenon

Le concept de Baramind est très intéressant pour la quête de recherche supplémentaire de confort.

Le cintre VTT apporte un vrai plus pour qui a le souci du détail et défini ses équipements en mettant l’accent sur son bien-être sur le vélo et sa santé à long terme. Ce sont d’ailleurs les clients utilisateurs qui en parlent le mieux. Vous retrouverez leurs nombreux avis sur le site de Baramind.

Le prix est certes élevé mais en adéquation avec un matériel d’exception conçu et fabriqué entièrement en France et sur une niche de marché.

Fort de son expérience dans les matériaux composites et toujours dans cette optique de fabrication française, Baramind planche sur des composants reprenant la technologie d’injection utilisée sur ses cintres City et Trek et dans une gamme de prix abordable. Bientôt une potence et une tige de selle Fabriqué en France par Baramind ? On l’espère de tout cœur.

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Hugo
Hugo
Habitant la Sarthe mais chtimi d’origine, Hugues devient passionné de VTT dès l’apparition de ces machines à plaisir dans les années 80. Son bonheur est de rider dans la nature en forêt en partant du pas de sa porte de préférence. Hugues est un pratiquant VTT, fatbike, gravel, cyclo, bikepacking…Sa devise : peu importe la monture et le niveau pourvu qu’on ait l’ivresse. Passionné par les vélos en acier, il a une attirance pour les artisans du cycle, les cafés vélos et l’univers du vélo en général.

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