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Test Aeroe Spider : un système de portage bikepacking universel

Choisir le bon système de sacoches de bikepacking est essentiel pour celles et ceux qui partent plusieurs jours à vélo. Le volume, la stabilité et la répartition du poids influencent directement le confort et la maniabilité du vélo. C’est encore plus vrai sur les parcours accidentés ou les longues distances. Un équipement mal adapté peut rapidement devenir une contrainte, alors qu’un système adapté permet de voyager efficacement, et de profiter pleinement de l’itinérance à deux roues.
La semaine dernière, je vous ai proposé le test des produits de bivouac VAUDE. J’ai réalisé ce test lors de ma première aventure en bikepacking, sur les pistes de la vélo-route de la Méditerranée. Aujourd’hui, je vous propose de nous intéresser au contenant, avec un test combiné des porte-bagage avant Spider Handlebar Cradle et arrière Spider Rear Rack et des sacoches 8 L et 12 L de la marque Aeroe.

Aeroe Spider Rear Rack et Spider Handlebar Cradle
Mon set complet pour ce voyage à vélo va me permettre d’emporter jusqu’à 32L d’équipement – photo Colin Gosse

La gamme de porte-bagage Spider d’Aeroe propose un système adaptable sur tous types de vélo, du gravel carbone au fat bike en passant par le VTT tout-suspendu. La conception modulaire de l’ensemble, composé d’un support fixé au cadre sur lequel s’ajoute un ou plusieurs récepteurs de sacoches, permet de couvrir un grand nombre d’usage pour tous type d’aventure.

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L’histoire d’Aeroe, la marque née pour le bikepacking

Fondée il y a 5 ans en Nouvelle-Zélande, la marque Aeroe est née de la passion de deux ingénieurs cyclistes, Les frères Mike et Paddy Maguire. Ils étaient convaincus que l’aventure à vélo méritait mieux que les solutions traditionnelles de portage. Lassés des contraintes des systèmes classiques, ils ont conçu dès leurs débuts des produits qui combinent ingéniosité, simplicité et adaptabilité. Le climat rude et les paysages escarpés de l’île du Sud ont naturellement servi de terrain d’essai à leurs premières créations. Depuis ses premiers prototypes, Aeroe a conservé cet esprit pionnier, en développant des équipements conçus pour les voyageurs à vélo en quête de liberté, de fiabilité et de design. Aujourd’hui, la marque s’exporte dans le monde entier, tout en restant fidèle à ses origines néo-zélandaises et à sa mission : réinventer la façon de voyager à vélo.

le sustème Aeroe sur les pistes de la vélo-route de la Méditerrannée
Petite pause à Èze après mon départ de Menton. Aucun réglage n’a été nécessaire, tout est bien stable – photo Colin Gosse

Chez Aeroe, chaque produit est pensé pour simplifier l’expérience du cycliste. La marque privilégie une approche épurée, fonctionnelle et intuitive, où chaque détail a sa raison d’être. Les matériaux sont choisis pour leur durabilité, leur légèreté et leur résistance aux conditions extrêmes, de manière fidèle à l’ancrage néo-zélandais de la marque. De plus, le design vise à offrir une intégration harmonieuse avec tous les types de vélos. Aeroe semble aussi accorder une grande importance à la protection de l’environnement : la longévité des produits et leur conception modulaire s’inscrivent dans une démarche de consommation responsable. La marque défend ainsi une vision du bikepacking libre, accessible et universel, fidèle à l’esprit d’aventure qui l’a fait naître.

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Test de l’Aeroe Spider Handlebar Cradle : le système avant à l’épreuve du terrain

Pour l’avant, j’ai choisi le Spider Handlebar Cradle d’Aeroe et je l’ai associé à la sacoche 8L Heavy Duty Dry Bag Orange. Ce duo forme un système de portage avant solide et parfaitement adapté au bikepacking. Dans mon cas, je n’ai pas retenu la version 12 L, car elle dépasse largement entre les drops de mon cintre gravel.
J’ai fixé le support directement sur le cintre, ce qui m’a permis d’obtenir une excellente stabilité, grâce à sa structure rigide et à ses sangles de serrage efficaces. La sacoche, elle, m’a offert une étanchéité irréprochable, même sous la pluie.

Test de l’Aeroe Spider Handlebar Cradle
Le porte-bagage avant Spider Handlebar Cradle et la sacoche 8 L Heavy Duty Dry Bag – Photo Colin Gosse

Focus sur le Spider Handlebar Cradle

Le Spider Handlebar Cradle d’Aeroe s’articule autour de trois matériaux principaux. Le corps est en plastique renforcé, tandis que le système de serrage et la visserie sont en acier inoxydable. Aeroe utilise du nylon recouvert de silicone pour les sangles, ce qui garantit une bonne adhérence sur le guidon.
Deux grandes sangles supplémentaires permettent de fixer solidement la sacoche étanche. L’ensemble inspire robustesse et fiabilité. Cela dit, le poids du module (460 g) est notable, et se situe au-dessus de la moyenne par rapport à d’autres systèmes concurrents. La marque indique une charge maximale de 5 kg.

Nom du produitAeroe Spider Handlebar Cradle
Prix public indicatif79 €
Poids~460 g (hors sacoche)
Charge maximale5 kg
MatériauxPlastique renforcé, acier inoxydable, sangles nylon/silicone
Type de fixationSangles avec fermeture boucle en plastique
CompatibilitéGuidons droits, gravel ou route (avec espace suffisant)
Orientation du supportRéglable (horizontal ou incliné)
Page du produitaeroe.com/products/spider-handlebar-cradle

la sacoche 8 L Heavy Duty Dry Bag

La sacoche 8 L Heavy Duty Dry Bag est conçue dans une toile épaisse en TPU, avec des coutures thermo-soudées. Le TPU, ou polyuréthane thermoplastique, est une alternative moderne au PVC : plus léger, plus souple, et potentiellement plus écologique car partiellement recyclable. Ce matériau est d’ailleurs fréquent dans les équipements nautiques. Le sac dispose d’une fermeture par enroulement, offrant une protection IP65 contre l’eau et la poussière. Comme le support, il dégage une impression de solidité dès la prise en main.

Nom du produitAeroe Heavy Duty Dry Bag 8 L
Prix public indicatif49 €
Poids~260 g
Volume8 L
MatériauToile TPU (polyuréthane thermoplastique) 600D
FermetureEnroulement triple pli avec clips
ÉtanchéitéIndice IP65
CompatibilitéTous systèmes Aeroe
Page du produitaeroe.com/products/8l-heavy-duty-dry-bag-orange

Mon retour terrain : un système fiable.

Le montage du porte-bagage avant se fait en quelques minutes. Il ne nécessite qu’une clé Allen de 5 mm pour serrer les colliers sur le cintre. Sur ce modèle, le support et le récepteur sont déjà assemblés. Cependant, lors du premier montage, j’ai perdu un petit patin de protection, situé entre le pied du support et le cintre. Ce patin tient mal en place quand le porte-bagage est démonté. Attention à ne pas le perdre.

Aeroe Spider - Bike Café
Le petit défaut du patin caoutchouc qui a tendance à tomber – photo Colin Gosse

Sur la route, le support associé à la sacoche 8 L ne pose aucune gêne, à condition que celle-ci ne soit pas trop chargée. Sinon, elle remplit tout l’espace entre les drops et peut gêner la position basse.
La stabilité est excellente, même sur les pistes dégradées. Les deux guides avant de la sacoche aident à maintenir les sangles du berceau, ce qui renforce la tenue de l’ensemble. En revanche, faire passer les sangles dans ces guides est peu pratique, surtout lorsqu’on porte la sacoche en même temps.
Enfin, la protection contre la pluie est impeccable. Le seul point faible reste le serrage des sangles, qui devient difficile lorsqu’elles traversent les guides.

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Test de l’Aeroe Spider Rear Rack : un porte-bagage arrière original et modulaire

À l’arrière, j’ai choisi le Spider Rear Rack, le best-seller de la marque. Pour transporter mon matériel, j’ai ajouté un berceau supplémentaire, et deux sacoches 12 L. Ce choix offre une grande capacité de chargement.
Fixé directement sur les haubans, ce porte-bagage se distingue par sa modularité et sa robustesse. Il est aussi polyvalent, ce qui le rend adapté à de nombreux usages, du voyage au quotidien.

Test du porte-bagage Aeroe Spider Rear Rack
Le porte-bagage arrière Spider Rear Rack ici équipé de deux sacoches 12 L Heavy Duty Dry Bag – photo Colin Gosse

Focus sur le Spider Rear Rack et la sacoche 12 L Heavy Duty Dry Bag

Le Spider Rear Rack d’Aeroe est un porte-bagage arrière monobloc en aluminium thermolaqué. Ce matériau le rend à la fois léger, rigide et résistant à la corrosion.
Son design tubulaire repose sur une structure autoportante, fixée aux haubans via des colliers à vis de tension. Le berceau articulé permet d’orienter le chargement selon les besoins.
Compatible avec tous les cadres, même en carbone, il peut supporter jusqu’à 16 kg de charge.

Nom du produitAeroe Spider Rear Rack
Prix public indicatif135 € + 69 € (option berceau supplémentaire)
Poids~865 g (support seul) + 335 g (option berceau supplémentaire)
Charge maximale16 kg
MatériauxAluminium thermolaqué, visserie inox, sangles silicone
FixationSur haubans avec colliers à vis de tension (pas besoin d’œillets)
CompatibilitéCadres route, gravel, VTT, y compris carbone
Orientation du berceauRéglable (horizontal ou incliné)
Extension possibleAjout de berceau latéral Aeroe (vendu séparément)
Page du produitaeroe.com/products/spider-rear-rack
Page du berceau supplémentaireaeroe.com/products/spider-rack-cradle

La sacoche 12 L Heavy Duty Dry Bag reprend les mêmes codes que la version 8 L. Aeroe utilise une toile TPU épaisse avec des coutures thermo-soudées. Résultat : une étanchéité IP65, parfaite pour les conditions extrêmes.
La fermeture à enroulement triple pli protège efficacement le contenu contre l’eau, la poussière ou les chocs. Enfin, des inserts thermo-soudés assurent une fixation stable sur les supports Aeroe, sans glissement.

Nom du produitAeroe Heavy Duty Dry Bag 12L
Prix public indicatif59 €
Poids~325 g
Volume12 L
MatériauToile TPU (polyuréthane thermoplastique) 600D
FermetureEnroulement triple pli avec clips
ÉtanchéitéIndice IP65
CompatibilitéTous systèmes Aeroe
Page du produitaeroe.com/products/12l-heavy-duty-dry-bag-black

Sur le terrain

Lors du montage, j’ai d’abord pensé que le Spider Rear Rack n’était pas compatible avec le faible écartement des haubans de mon Origine Graxx 1. Finalement, grâce aux pieds orientables, j’ai pu fixer le support, en réduisant légèrement l’écartement.
Attention cependant à ne pas trop forcer sur les haubans. Selon Aeroe, l’écartement initial (environ 135 mm à l’axe) peut varier de 20 mm, grâce à la souplesse relative du bras en aluminium. L’écartement minimal recommandé est donc d’environ 115 mm. Sur certains vélos, il faudra fixer le rack plus près des pattes arrière.

Sur la route, le support offre un excellent confort, même avec une charge d’environ 8 kg. Je n’ai constaté ni déséquilibre, ni vibrations gênantes, contrairement à certaines sacoches de selle. Le système est certes lourd, mais il reste très stable et fiable.
Enfin, j’ai apprécié de pouvoir fixer un éclairage arrière sur la partie haute du bras. C’est, selon moi, l’emplacement idéal avec cette configuration.

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Mon avis sur le système de bagagerie Aeroe Spider : un système universel, robuste… mais lourd

Après plusieurs jours de voyage sur les pistes de la vélo-route de la Méditerranée, le système Aeroe — composé du Spider Rear Rack, du Spider Handlebar Cradle, et des sacoches étanches 8 L et 12 L Heavy Duty Dry Bag — s’est montré fiable, fonctionnel et parfaitement adapté au bikepacking longue distance. J’ai particulièrement apprécié la qualité des matériaux, la finition soignée et la modularité intelligente de l’ensemble, qui permet de configurer son chargement selon ses besoins tout en garantissant une stabilité sans faille.
Ce système est certes plus lourd que la moyenne (environ 2,6 kg au total) et représente un investissement conséquent (450 € pour l’ensemble), mais ces deux aspects sont à mettre en balance avec la durabilité, polyvalence et la capacité d’emport qu’il offre. Aeroe propose ici une solution technique de pertinente, pensée pour durer et accompagner de nombreuses aventures à vélo, quelles que soient les conditions.

  • Site du fabricant : Aeroe
Colin
Colin
Colin Gosse partage son temps entre la gestion du site Bike Café, la création de visuels originaux pour les produits dérivés, et son activité de designer digital en freelance. Adepte du vélotaf et pratiquant occasionnel en Gravel, il pose un regard néophyte sur cette pratique mais ne se prive pas de tester des équipements et de participer à la production éditoriale du site.

3 COMMENTAIRES

  1. A la lecture de cete article très intéressant, je ne peux m’enpêcher de poser la question. Quelle est la différence, selon vous, entre le bikepacking et ce qui se fait depuis plus d’un siècle en cyclotourisme ?
    A l’arrivée du bikepacking, il était défini comme la super nouveauté permettant de partir avec des sacoches accrochées directement sur le cadre, avec le gros avantage d’éviter les porte-bagages. Sacoches et porte-bagages étaient considérés lourds et inadaptés à une pratique rapide.
    10 ans plus tard, la poudre me semble réinventée, emballée dasn un story telling autour de la nouveauté.
    Selon moi, le bikepacking est surtout une supercherie car les sacoches sur le cintre existaient au début du cyclotourisme. Les porte-bagages sont arrivés plus tard pour pallier les inconvénients de l’accrochage direct sur le cadre. Certes, la quantité de bagages a augmenté avec la taille des sacoches et la solidité des PB. Mais cela ne résulte que du besoin (ou du désir) des cyclistes de partir avec plus de matos. Avant le bikepacking, les sacoches légères et porte-bagages légers existaient déjà et les cyclistes qui le désiraient partaient avec des sacoches plus petites et moins lourdes.
    Avec cet article, on voit que la “créativité” est en fait une “revisite” des outils du cyclotourisme avec de nouveaux matériaux, adaptés à des contraintes nouvelles mais présenté comme un nouveau concept. Et au final, l’objectif du gain de poids n’est pas sûr d’être atteint. Je suis assez convaincu que le poids par litre de capacité d’emport du système que vous présentez est supérieur à celui des sacoches Berthoud “classiques parmi les classiques” auxquelles on ajoute celui des porte-bagages classiques qui existent même en titane (ou carbone comme tailfin).
    Un exemple de plus de la prépondérance du “story telling” marketing pour faire vendre en faisant croire à des nouveaux pratiquants qu’ils sont des pionniers.
    Ce story telling s’est fait en ringardisant le cyclotouriste “à la papa”, alors qu’il suffisait de présenter les nouveautés simplement comme telles, sans avoir besoin de systématiquement dénigrer les prédécesseurs.

    • Bonjour Vince,
      Merci pour votre message, très intéressant.
      Pour répondre à votre question : à mes yeux, il n’y a pas de réelle différence entre le bikepacking et le cyclotourisme. Ce sont deux façons de désigner la même pratique : voyager à vélo d’un point A à un point B en transportant son matériel.
      Je ne pense pas que la marque cherche à dénigrer qui que ce soit. Elle propose simplement sa propre solution, dans un marché où les options sont déjà nombreuses.
      Mais bien sûr, chacun est libre d’interpréter les choses à sa manière.

      • Merci pour votre réponse, Colin.
        Nous sommes d’accord, pas de réelle différence entre bikepacking et cyclotourisme.
        Je suis désolé de m’être exprimé en faisant penser que je critiquais la marque Aeroe qui aurait dénigré le cyclotourisme. Je ne critique pas cette marque, je regrette le discours marketing des marques “pionnières” du bikepacking relayées par les revues et certains bloggeurs (dont certains auteurs de BC), lorsque le bikepacking est arrivé. Le discours à l’époque était construit autour “d’arguments” mettant en avant une soi-disant “rupture” avec le cyclotourisme et voyage à vélo de “papa” (voire de grand-papa). Le bikepacking, c’était la légèreté, la simplicité de l’accrochage sur le cadre et directement sur le cintre. Les porte-bagages, les décaleurs, les sacoches simples c’était totalement ringard. Les marques qui se lançaient sur ce nouveau marché ne voulaient rien qui rappelle cet équipement “iconique” du cyclotourisme à l’ancienne. Les jeunes barbus, tatoués etc. que l’on retrouve dans l’iconographie du gravel étaient tous sur des vélos gravel équipés “bikepacking”.
        A l’époque, j’écrivais que selon moi, le bikepacking est une évolution bienvenue du cyclotourisme qui apporte de la modernité par les matériaux, par des approches innovantes sur des solutions techniques. Pour moi, les vélos gravel ne sont que des randonneuses modernes, c’est à dire des vélos de capables de rouler efficacement sur routes comme sur chemins, par tous temps et de nuit aussi bien que de jour (avec les éclairages, disparus des vélos de route mais qui réapparaissent sur les vélos destinés à la longue distance). J’écrivais aussi que le porte-bagages n’est un symbole de rien du tout, c’est juste une solution technique à une problématique. Les bikepackers se définissaient comme “n’ayant pas besoin de porte-bagages”. Les inserts sur les fourches, c’était pour mettre des “grizzly cage” et pas pour des PB surbaissés.
        On voit que désormais, tout cela s’estompe. Les fabricants qui juraient par le “tout directement sur le cadre” proposent maintenant des accessoires interfaces entre bagages et cadre (y comris des porte-bagages. Les utilisateurs ont bien vu les problèmes posés dans certains cas par la fixation directe. Donc oui, les choses s’améliorent. On ne lit plus le même dénigrement. Le gravel est là pour durer. Il n’a plus besoin de se définir comme “pas du cyclotourisme”. On revient à plus de rationnel en combinant des approches nouvelles et plus éprouvées, ce que j’ai toujours appelé de mes vœux (on me répondait que j’étais “passéiste” alors que je décelais parfaitement le potentiel d’amélioration qu’apportaient les nouveaux regards et nouveaux matériaux).
        Je pense qu’il y a encore du chemin car honnêtement, je pense que les solutions anciennes résultaient de plusieurs décennies de travaux itératifs d’amélioration. Les solutions Aereo par exemple me semblent “sur-ingéniérées”, très coûteuses, très chères et j’en suis presque certain plus lourdes (à volume transporté équivalent) que les solutions anciennes (qui pourraient être allégées par l’emploi de matériaux actuels).
        Pour info, j’ai écrit ceci sur mon Blog il y a 7 ans : https://monexperiencevelo.blogspot.com/2018/05/un-velo-de-route-capable-de-rouler-sur.html

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