Le rally “Torino-Nice” n’est pas une compétition mais plutôt une balade pour nourrir votre âme : une aventure à partager avec des amis pour réaliser une expérience mémorable. Le parcours n’est pas une promenade de santé car il se déroule sur 700 km avec près de 20 000 m de D+ sur une grande partie de routes militaires comportant de nombreux cols à franchir.
On se trouve projeté au milieu de l’histoire de deux pays, dans ce décor frontalier qui a vécu les guerres et les échanges commerciaux entre les cimes italiennes occidentales et la côte méditerranéenne du sud de la France.
Bombtrack aime l’aventure
En 2016, l’ambassadeur de la marque Bombtrack : Joachim Rosenlund, a participé à cette épreuve sur son Hook EXT et a ainsi vécu une expérience de bikepacking en autosuffisance incroyable. “Le décor offert par les montagnes les plus hautes de l’Europe est à couper le souffle, et je ne m’attendais pas à participer à un voyage aussi spectaculaire …” déclare Joachim.
Ce rally lui a tellement plu, qu’il s’est déjà inscrit pour y participer à nouveau cette année. La vidéo, que Bombtrack nous propose de regarder, est une invitation à le suivre sur ces pistes difficiles avec en permanence la découverte de panoramas splendides.
Des parisiens dans la montagne
Nos amis du Paris Chill Racing étaient aussi de la fête en 2016. Imaginez des “parigots” dans les Alpes où les pentes ne ressemblent pas à la butte Montmartre. Cette équipe de 5 copains est particulièrement fière d’avoir participé à l’aventure du Turin-Nice Rally.
“Certes, ce n’est ni l’Everest, la Transcontinental Race ou la traversée de l’Antarctique en raquettes et slip de laine, mais pour nous c’était une sacrée aventure …” déclarent-ils sur leur blog. Entre refuge d’altitude, camping, restaurants d’anarchistes italiens, pâtes lyophilisées, bivouac en haut d’un col après une course poursuite avec un âne chapardeur, averses de grêle à 2700 m d’altitude. Les Alpes ont su les régaler avec 23 cols de plus au compteur et autant d’histoires à raconter ! …
Armés d’appareils photos jetables, d’un Zeiss Ikon 6×6, d’une douzaine de pellicules, d’une caméra argentique et de 2 bobines de film Double 8 mm, ils ont tenté de capturer les souvenirs de cette aventure. Mais en argentique, tout ne se passe pas toujours comme prévu !
La mémoire est sélective, mais le futur ne s’oublie pas ! Le reportage complet est toujours en ligne sur Issuu (ci-dessus).
Le tracé sur Openrunner http://www.openrunner.com/index.php?id=6912471