Suite à un premier article à la découverte du Wahoo ELEMNT Roam signé Patrick, je propose aujourd’hui de vous faire part de mon expérience avec la version 2 du ELEMNT Roam, un GPS de bonne réputation, de plus en plus utilisé par les cyclistes qui pratiquent les différentes disciplines du “vélo aventure”.
J’ai donc passé quelques semaines en compagnie de cet “ordinateur de vélo” (comme le présente Wahoo) pour vous livrer mes impressions sur ce phénomène montant dans le petit monde des GPS. Sans vous refaire la liste détaillée de l’ensemble de ses caractéristiques et de ses fonctionnalités (toute la presse vélo l’a déjà fait), je me suis plutôt attaché à confronter l’appareil à mes usages et mes besoins, et cherché à mettre en lumière ce que ce GPS a de particulier par rapport à ses concurrents.
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Wahoo, connexions à tous crins
Née en 2009 à Atlanta, l’entreprise Wahoo a inventé un écosystème innovant et ambitieux connecté aux machines de fitness, omniprésentes dans les salles de remise en forme. Le développement de la Clé Ant+, qui permet de stocker, transmettre et partager les données mesurées par les capteurs installés sur les machines a permis à Wahoo de devenir un acteur majeur de ce marché en pleine expansion.
En 2012, Wahoo a développé les premiers capteurs de rythme cardiaque connectés aux smartphones par Bluetooth et dès 2013 Kickr, sa propre gamme de hometrainers connectés.
C’est en 2016 que Wahoo a pointé enfin son nez hors des salles, puisqu’est apparu ELEMNT, le premier GPS de vélo de la marque, suivi en 2017 par l’ELEMNT Bolt, le Roam en 2019 et enfin en 2020, la montre GPS multisports Rival.
On peut noter aussi qu’en 2021 Wahoo a racheté la marque de pédales Speedplay (pour, il fallait s’y attendre, développer des pédales connectées) et dévoile depuis quelques semaines, d’où la génèse de cet article, un “nouvel” ELEMNT Roam.
La famille ELEMNT
”ELEMNT” désigne chez Wahoo les “ordinateurs embarqués” pour la pratique sportive. Il y a deux modèles de GPS, “Bolt” et “Roam”. Si le premier est plus compact et meilleur marché, le second est plus luxueux et propose plus de fonctionnalités. Mais tous deux sont aussi bien adaptés aux home trainers qu’aux vrais vélos, pour les sorties sur route et sur gravier.
Par rapport au Bolt, le Roam propose plus d’options de navigation, une meilleure autonomie et une construction plus robuste, c’est pour cela que je l’ai choisi, à l’instar de la plupart des cyclistes longue distance qui s’équipent chez Wahoo.
Quoi de neuf sur la nouvelle version de l’ELEMNT Roam ?
Si l’on se concentre sur les strictes capacités du nouveau Roam, on remarquera en premier lieu l’amélioration des performances “hardware” de la machine. La v2 est équipée d’une puce GPS à double fréquence, plus puissante et plus réactive que celle de son prédécesseur, d’un écran plus contrasté qui propose 64 couleurs (au lieu de 8) pour une lisibilité accrue et d’une capacité de stockage de 32 Go (au lieu de 4) pour un stockage de cartes, d’itinéraires et d’activités très spacieux.
Il y a aussi d’autres caractéristiques, moins chiffrables, mais qui amènent un confort et un plaisir d’utilisation accrus, comme par exemple les boutons de façade, plus affleurants et sensibles que ceux de l’ancien modèle. Cela ne pourra qu’améliorer la manipulation du GPS en hiver, lorsqu’on porte des gants longs.
L’apparition du connecteur USB-C est un vrai plus aussi, car c’est un standard qui s’impose partout, qui assure une plus grande vitesse de transfert et de charge et qui se connecte dans les deux sens. Enfin, pour les grimpeurs (ou ceux qui détestent ça, c’est selon), la fonction “Summit Climbing” permet d’afficher le profil des montées avec un code couleur correspondant aux pourcentages.
Indubitablement, les évolutions apportées au Roam 2 prouvent que Wahoo, au delà de sa culture de l’indoor et du fitness, sait tenir compte des attentes des cyclistes au grand air, voire de celles des pratiquants intensifs, qui passent des journées et des nuits entières sur la route, avec pour seul interlocuteur, en tête à tête, le GPS fixé sur le cintre ou les prolongateurs.
Contenu de la boîte
Le GPS est livré avec un support pour guidon Aero (19,99€ si acheté à part). Ce support profilé aérodynamique en plastique résistant et léger intègre parfaitement l’ELEMNT Roam.
On trouvera aussi dans la boîte un support polyvalent de potence ou de cintre, qui permettra de fixer l’ELEMNT Roam sur un second vélo ou un vélo de prêt, sur un prolongateur… Ce support sera très utile par exemple si une sacoche de cintre empêche d’utiliser le support déporté.
On trouvera aussi bien sûr dans la boîte un câble d’alimentation USB-C basique, deux colliers en plastique pour fixer le support de potence, une micro-vis pour ceux qui souhaitent fixer le GPS à demeure sur le support aero et un petit dépliant de prise en main rapide, fort succinct mais tout à fait suffisant pour configurer l’ELEMNT Roam et commencer à l’utiliser immédiatement.
Qualité de fabrication
La qualité de fabrication de l’ELEMNT ROAM est excellente. L’étanchéité est garantie à IP7 (pour en savoir plus sur cette codification, allez donc voir mon test de l’Openrun Pro de Shokz). L’écran est de la même trempe que celui d’un smartphone. Comme pour les marques concurrentes, son point faible est sans doute situé au niveau des oreilles de son système de fixation, qui risquent de se casser en cas de chute accidentelle du GPS. Mais la résine de la coque semble d’excellente qualité, et en cas de bris, on pourra toujours utiliser le système D que Patrick décrit dans cet article.
Les accessoires supplémentaires et leurs enjeux
Je lis souvent des essais de GPS, sans que leurs rédacteurs se préoccupent plus que ça des différents supports disponibles.
Mais ce détail n’en est pas un, parce qu’il faut fixer de façon absolument fiable sur le vélo un GPS qui coûte quand même 400€ et parce que les postes de pilotage des cyclistes sont souvent très personnalisés, surtout en bikepacking et en longue distance, avec des sacoches de cintre ou des prolongateurs.
Commençons par un truc tout simple : la lanière de sécurité, qui évite de perdre son GPS dans les broussailles en cas de chute sur un singletrack, qui sera aussi un tantinet dissuasive si quelqu’un essaie de vous subtiliser le GPS d’un geste vif et discret. De façon générale, elle est aussi le filet de sécurité s’il y a un problème avec le support, elle permet aussi de tenir le GPS à la main en le sécurisant au poignet… Bref, à mon avis, cette lanière de fixation est indispensable.
Or, Wahoo a fait le choix de proposer un système propriétaire pour fixer la lanière : Sur le Roam, point de trous dans la coque pour y passer un brin fin et solide, mais une découpe sous la coque pour y visser une minuscule plaque spécifique, avec une vis qui ne l’est pas moins ! Les bricoleurs pourront toujours tenter d’imiter le système, au risque d’utiliser une vis un peu trop longue ou trop large, qui pourrait endommager l’appareil.
Comme dans tout système fermé où l’utilisateur est piégé, la lanière vendue par Wahoo est donc chère : 14,99€ ! Dommage d’avoir imposé ce système vissant, alors qu’un trou intégré à la coque aurait suffit… Je n’apprécie pas et ne comprends pas cette approche vilement commerciale, financièrement juteuse à court terme, mais qui, au final, ne va pas favoriser l’accession de ce GPS au statut enviable d’objet culte.
Stratégies de supports
En dehors du support aero et du support de potence inclus dans la boîte, il existe aussi un support spécifique pour prolongateurs, vendu à part pour 14,99€.
Mais la bonne nouvelle c’est que Wahoo propose aussi un adaptateur pour supports Garmin. C’est une excellente idée, en partant du principe que beaucoup de néo-acheteurs Wahoo sont des transfuges de Garmin, et ont déjà un support Garmin sur chacun de leurs vélos. Certes, ce petit adaptateur n’est pas donné : 14,99€. Mais il permet, en le laissant “au cul” du Roam, de monter le GPS Wahoo sur tous les supports de type Garmin du marché, et il y en a une foultitude, pour tous les usages et à tous les prix.
J’insiste donc sur la prise en compte de la question des accessoires lors de l’achat d’un GPS Wahoo. Pour ma part, je préconise d’ajouter au panier au minimum la lanière et l’adaptateur Wahoo-Garmin qui me paraissent indispensables.
Pour être à peu près complet sur la description des possibilités de fixations, on notera cette audacieuse adaptation, glanée sur le web, pour fixer un Wahoo sur le dessus d’un jeu de direction ahead. Comme quoi, même les systèmes les plus fermés peuvent être détournés par de fameux bricoleurs…
La connectivité physique
Même si l’ELEMNT Roam est ultra connecté, on ne pourra pas le recharger sans le brancher sur le secteur ou une batterie externe. Cette recharge se fait en USB-C et c’est une bonne nouvelle : l’USB-C est le nouveau standard USB, les connecteurs sont solides, fiables, faciles à manipuler et il est impossible de forcer la fiche femelle en se trompant de sens. Il existe dans le commerce toute sorte de câbles USB-C adaptés à nos besoins : courts, longs, coudés d’un côté et/ou de l’autre.
On pourra noter que câbler et décâbler l’alimentation pendant l’enregistrement d’une activité ne pose aucun problème (ce qui n’est pas le cas avec tous les GPS). Cette information intéressera particulièrement ceux qui roulent longtemps et utilisent un moyeu dynamo ou une batterie externe pour recharger leurs appareils électroniques sans s’arrêter de rouler. Pour les sorties “normales”, la batterie intégrée du Roam, qui tiendra au minimum une dizaine d’heure, sera plus que suffisante.
À noter également, pour les plus geeks d’entre nous, que l’ELEMNT Roam peut aussi échanger des données par USB si vous le branchez sur un PC. Les GPS Wahoo fonctionnent sous Androïd, donc si le GPS ne “monte” pas, il faudra utiliser un “client MTP”, (comme par exemple Android File Transfer, une petite application gratuite) pour transférer des données du GPS au PC ou inversement.
La magie des ondes
En tant que spécialiste du partage de données (bon sang ne saurait mentir), Wahoo a doté l’ELEMNT Roam d’une foultitude de fonctionnalités en réseau.
Le GPS s’appaire via WIFI à l’application mobile qui lui est dédiée, ELEMNT Companion, que ce soit sur iPhone ou Android. C’est sur cette application que l’on trouve l’essentiel des réglages de configuration du GPS : personnalisation de pages de données, activation des notifications, rétro-éclairage de l’écran, connexions avec des capteurs, gestion des cartes et des itinéraires, synchronisation des sorties avec les applications tierces…
Une fonctionnalité intéressante : le “Public Routing Sharing” (le partage de votre activité en temps réel) rassurera vos proches lors de vos sorties solitaires. Wahoo n’a pas oublié l’aspect “réseau social”, avec la possibilité de partager des “itinéraires publics” avec les autres cyclistes qui roulent au même moment que vous dans le même secteur. Une relecture cycliste de Tinder et Grindr, en somme.
Bien entendu, Wahoo propose de vous connecter aux groupes électroniques, comme les nouveaux Di2 (équipés du boîtier Shimano D-Fly), les Sram Red, Campagnolo et des capteurs en tout genre : FSA, radar Ant+, Specialized Angi, la nutrition avec Supersapiens, Moxy et BSX Insight.
Contact visuel
Le(s) fond(s) de carte sont archi clairs et contrastés, parfaits pour suivre une trace, de jour comme de nuit. Wahoo a fait le choix de développer un graphisme très particulier pour ses fonds de cartes, très différent des graphismes OSM habituels chez ses concurrents. La stylisation est pensée pour le guidage, pas pour l’analyse de terrain. Pour des repérages un peu compliqués, en gravel par exemple, c’est une autre histoire. Certes, le niveau d’agrandissement de la carte (jusqu’à une échelle 20 mètres) est suffisamment précis. Mais si vous avez besoin d’un GPS avec des fonds de carte détaillés, genre IGN, avec la toponymie et les courbes de niveaux, ce GPS n’est pas pour vous !
Ne cherchez pas sur l’ELEMNT Roam une interface touffue avec des arborescences de forêt équatoriale. Les quelques pages qui défileront sur l’écran du GPS iront à l’essentiel : une page avec le fond de carte pour la navigation, une page de données (qu’on pourra tout de même compléter par plusieurs pages personnalisables) et une page spécifique pour les profils de dénivelé.
En ce qui concerne les réglages, le GPS ne propose l’accès qu’à quelques uns d’entre eux, sur une seule et unique page au menu déroulant. Tous les autres réglages se font via l’application mobile. Il faudra, pour les utilisateurs de GPS plus anciens et moins connectés, un certain temps d’adaptation, mais l’interface de l’application est plutôt intuitive et ne réserve pas de fâcheuses surprises, surtout si on prend le temps de bien pré-régler le GPS en fonction de ses besoins et de synchroniser si possible, avant la sortie, les cartes et les itinéraires qui seront nécessaires.
Zoom zoom zoom
Arrêtons-nous un instant sur cette fonctionnalité que j’ai trouvée intéressante : Les touches de zoom (qui sont situées sur le côté droit de l’appareil) permettent bien sûr de changer l’échelle du fond de carte, mais aussi d’afficher plus ou moins de données sur la (les) page(s) de données. Par exemple, sur ma page configurée avec dix champs de données, le “zoom in” permet d’afficher moins de données, s’affichant en plus gros (les données de bas de page disparaissent en premier, et ainsi de suite – voir les photos ci-dessous).
L’irritante fonction Summit
Cette page dédiée aux ascensions ne laissera personne indifférent. Pour ma part, je n’ai pas envie de faire du vélo avec un “coach” à côté de moi, et c’est l’impression que m’a faite cette page, avec sa multitude de données vouées à la performance et au “allez go go go !”. Surtout que c’est la base de données Wahoo qui détermine ce qui est une ascension et ce qui n’en est pas une, où commence et où se termine le “segment”… Ça m’éneeeerve !
La communication de Wahoo insiste beaucoup sur cette fonctionnalité. N’ayant pas essayé la version précédente du Roam, je ne saurais dire en quoi elle a évolué… Mais, après tout, on peut désactiver cette fonctionnalité, et certains d’entre vous l’adoreront !
Un certain manque de nuances
Sur certains points, c’est tout ou rien avec l’ELEMNT Roam ! Par exemple, on ne peut pas régler le volume des alertes sonores… Ou alors je n’ai pas trouvé comment faire ; si ce n’est coller un petit bout de ruban adhésif sur le haut-parleur pour modérer les stridences de l’appareil…
On ne peut pas non plus décider soi-même de l’intensité du rétroéclairage de l’écran. Effectivement, si le mode “auto” analyse parfaitement la luminosité de l’environnement pour activer ou pas le rétroéclairage, en pleine nuit, l’écran est bien trop lumineux à mon goût. Cela nuit à l’attention, et sur de longues distances, ça fatigue la vue.
Espérons néanmoins que ces deux problèmes de nuances pourront être résolus par une future mise à jour du firmware ?
Des salles de sport aux chemins de traverse
Il y a cinq ans en arrière, je n’avais jamais entendu parler de Wahoo. Depuis, de plus en plus de cyclistes autour de moi, même s’ils restent minoritaires face aux utilisateurs de GPS Garmin, craquent pour un GPS ELEMNT. Il semble que Wahoo, sûre de son expertise en matière d’appareils de sport connectés, prenne de plus en plus d’assurance au grand air, après avoir parfaitement identifié les besoins des cyclistes d’extérieur.
À la poursuite de son concurrent hégémonique, encore bien loin de lui prendre le marché, Wahoo construit néanmoins sa réputation progressivement et sereinement, au point même d’être suffisamment pragmatique et (cynique !) pour proposer un adaptateur vers les supports Garmin…
Pour ma part, j’ai vraiment apprécié rouler avec l’ELEMNT Roam, un GPS bien conçu, d’excellente qualité, un GPS sérieux, à conseiller particulièrement aux cyclistes intensifs.
OUI :
La qualité de fabrication
La lisibilité de l’écran et l’efficacité visuelle du guidage
L’adaptateur pour les supports Garmin (vendu séparément)
NI OUI NI NON :
La fonction Summit
Les repérages et l’orientation en pleine nature
NON :
Pas de réglage du volume des alertes sonores et du rétroéclairage (ou alors je n’ai pas trouvé)
La dragonne hors de prix et sa fixation propriétaire
L’orientation systématiquement au Nord de la carte en mode panoramique (et pas dans le sens de la marche – ou alors j’ai pas trouvé)
Wahoo ELEMNT Roam GPS Bicycle Computer 399,99€
Distributeur France Sport Pulsion
Bonjour Dan,
Sais tu si la batterie est prévue pour etre remplacée ?
Je rage d avoir un edge 820 qui ne tient plus que 2h !
Merci
Pierre
Bonjour Pierre,
Je n’ai pas d’info directe à ce sujet, néanmoins j’ai trouvé ce tutoriel sur le web (qui n’engage que la responsabilité de son auteur) :
https://fr.ifixit.com/Tutoriel/Wahoo+Elemnt+Roam+(WFCC4)+Screen+and+Battery+Replacement/152118
Pour info, c’est possible aussi sur les Garmin 820, même si généralement les batteries tierces n’ont pas la même autonomie que les batteries d’origine.
Bonne journée,
Merci de nous lire,
Dan
Le truc vraiment pénible avec Wahoo c’est qu’il n’existe pas de profils, donc il faut penser à adapter les réglages un par un avant de sortir en route ou VTT, en particulier les surfaces pour le parcours et le mode arrêt automatique ( pénible en VTT dans les radars).
Bonjour Eric,
Merci pour votre commentaire pertinent. En ce qui me concerne, cela ne me gêne pas car j’utilise toujours le même profil quelle que soit ma pratique (cf photos d’écran dans l’article) et je n’utilise jamais la pause auto car je préfère connaître en temps réel ma moyenne réelle (moyenne absolue, en comptant les arrêts)
Merci de nous lire,
Dan
Bonjour Dan, l’auto pause je trouve cela indispensable pour moi en vtt ! il m’arrive de faire des ateliers, je peux faire des photos ! des pauses manger un bout (sortie de 6h) et au final savoir le temps de roulage !
Après quand j’utilise un GPS comme mon dakota c’est pour suivre un parcours, être dans un nouvel endroit, une région, principalement en VTT, donc ce Roam serait un peu juste ? m’orienter vers quel modèle ?
Sachant que j’utilise sur chaque sortie et peu importe le genre (route, gravel, vtt, CAP) une montre, d’ailleurs après une suunto ambit3, voilà 3 ans que je suis chez Coros avec une APEX 46 et toujours en fonction, mon fidèle dakota 20 a accu.
Merci pour le CR orienté utilisation que spécificités. bonne journée fred
La grosse différence entre la V1 et la V2 concerne le profil : contrairement au V2, le V1 est incapable de calculer un profil : il est importé avec le parcours depuis le smartphone.
En conséquence avec le V1, si on s’écarte un temps du parcours initial, ç’est le bazar : on est mal localisé sur le profil général (désormais faux) et la fonction Summit devient ridicule.
Avec le V2, ça s’adapte et la fonction Summit peut même se déclencher (visualisation de la montée avec indication des distances verticales et horizontales restantes pour arriver au sommet : j’aime bien) sans être en train de suivre un profil.
C’est un énorme progrès mais Wahoo n’a pas trop communiqué là dessus car ça aurait été avouer le mauvais fonctionnement du V1 …
Merci Éric pour ces précisions !
Bonjour Dan Compteur vélo Wahoo Elemnt Roam V2 GPS , par contre je voudrai savoir comment lui faire voir que je roule en Vttae comme sur Garmin. je m’explique il y a que la sélection vélo et quand je termine une sortie qu’il envoie sur Strava la sortie est en musculaire comment configurer le compteur Wahoo merci pour tout Sportivement.
Bonjour,
Malheureusement je n’en sais rien, peut être la réponse est-elle sur le mode d’emploi en ligne sur le site de Wahoo ?
Sinon, il suffit de modifier a posteriori le type de sport sur la sortie Strava.
Merci de nous lire !
Bonjour Dan, merci pour cette analyse pertinente sur Wahoo Elemnt Roam V2 GPS.
Je posséde un wahoo élement roam 1ere version qui a 2 ans a peine et l ‘ écran à de gros problème, comme beaucoup d’ utilisateurs, hélas.Certain ne sont plus étanche, le mien n a jamais roulé sous la pluie, mais il devient de plus en plus illisible, sur ces contours..Reparation couteuse donc.
Le probleme bien connu de chez wahoo a t il été résolu, car franchement j ‘ avais acheté mon wahoo il y a 2 ans 380 euros, et si le problème n est pas résolu , je ne vais pas en racheté un autre, dommage car j’ aime bien toutes ses fonctionnailitées et sa facilité de mise en route et l utilisation facile pendant la sortie.
Bonne route Dan
Bonjour Christian,
Merci pour ton retour utilisateur. En ce qui me concerne, l’écran de la v2 n’a pas bougé. Le GPS ne me sert pas quotidiennement (uniquement sur mon Chiru Kunlun et plutôt sur les longues distances) mais il a beaucoup roulé (15000 km env), sous le pluie et avec un fort soleil, sans aucune dégradation a priori.
J’espère que ce retour te sera utile,
Bonne route à toi aussi !
Bonjour Dan
Merci beaucoup pour ton retour d’expérience. Noël approchant j’aimerais demander au Père Noël un nouveau GPS actuellement j’utilise depuis 5 ans un edge 810. Je pratique plutôt du Gravel et voudrais me lancer dans le bikepacking (raisonnable) … j’hésite…Wahoo elemnt Roam – Karoo 3 – Edge 840 ??
Merci de ton avis
Bien sportivement.
Bonsoir Stéphane,
Wahoo > connectivité, autonomie
Garmin > précision de la cartographie > recos, tout-terrain
Je ne connais pas Karoo
Bon ride