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Le Tour de France des Bike Cafés

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Bike Café

Nos bike Café …

Un peu partout en France il existe des endroits où les cyclistes aiment se retrouver. Le magasin du vélociste est un lieu de rencontres privilégié pour les cyclistes. Nous aimons y passer du temps. On y retrouve le maître des lieux qui distille sa science mais également d’autres clients venus hanter l’endroit.

Les échanges vont bon train et chacun y va de son anecdote : récits de randos cyclo ou de voyages, commentaires sur les nouveautés, … Les uns sont pour les freins avec disque les autres sont contre. “Tu mets des tubeless de 25, ça t’apporte quoi ? …” On est loin des froids linéaires et des échanges impersonnels des magasins de la grande distrib …

Bike Café
illustration ©Kinder

Certains de ces magasins sont devenus de vrais lieux de rendez-vous où les clients : cyclistes (ou pas) aiment venir se détendre et partager. Ce concept de “Bike Café” qui est très populaire en Grande-Bretagne, se développe chez nous et c’est la découverte du magasin Raleigh d’Eric Berthou à Brest qui m’a mis sur la piste de ces établissements devenus des “sanctuaires” du vélo où l’on accueille tout le monde, même les profanes. Espace pour se documenter, pour se restaurer, pour essayer des vélos, … point de rendez-vous pour le départ d’une sortie, le bike café est un lieu de vie nécessaire au développement du vélo.

Track & News
Eric dans sa “zone ravito” accueille avec Virginie ses clients venus faire la pause repas … photo ©Raleigh France

Le site web Bike Café, sur lequel vous êtes en train de naviguer, est un lieu virtuel qui s’inspire de ce concept … Nous vous proposons notre coin atelier pour y puiser des idées de montages, une liste de bouquins qu’on a aimé lire, des découvertes : régions, circuits, … des news du monde du vélo, … il manque juste un bar qu’il sera difficile vous le comprendrez, de virtualiser.

Nous allons faire avec vous un Tour de France à notre manière et les étapes seront celles des rencontres de ces lieux parfois insolites. On y prendra un café en discutant avec le “patron” ou “la patronne” et on vous racontera la visite pour vous donner envie comme nous d’y aller faire un tour.

Quelques adresses

Agen :

Angers :

Angoulême :

Bordeaux :

Brest :

Chambéry

Épernay

L’alternative du cycle : https://www.facebook.com/lalternativeducycle/

Grenoble :

Le café vélo : http://www.cafe-velo.fr/

Le Mans (Téloché)

Lille :

Lyon :

Montpellier :

Nantes :

Orléans :

Nice :

Paris et sa banlieue :

Rouen

Le retour de la bicyclette

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Bike Café
Le retour de la bicyclette

Je viens de terminer la lecture de cet ouvrage qui offre un éclairage très précis et complet sur l’évolution des déplacements urbains et la place que tient la bicyclette dans ceux-ci.

En lisant ce livre j’ai appris énormément de choses sur l’usage de la bicyclette depuis ses origines jusqu’à nos jours. J’ai suivi avec intérêt, depuis les premiers rebonds en 1970 jusqu’aux vélos en libre service de nos grandes villes actuels, la progression de l’usage du vélo comme moyen de transport.

Il y a énormément d’informations dans cet ouvrage pour comprendre les enjeux, les coûts, les blocages,  … qui expliquent une situation qui place notre pays dans le peloton de queue en Europe des usagers du vélo transport. Tout y passe : pistes cyclables, port du casque, coût exorbitant des VLS, santé, … Pour Frédéric Héran, “Adopter le vélo est beaucoup plus qu’un choix modal, c’est aussi le choix d’une politique de déplacement plus équilibrée, de finances publiques mieux maîtrisées, d’un mode de vie plus équitable, d’un art de vivre plus convivial. Il s’agit, en somme, d’un choix de société.”

Informations

Pitch de l’éditeur

Comment le vélocipède a-t-il concurrencé le cheval ? Pourquoi les Hollandais roulent-ils plus à vélo que les Français ? La voiture est-elle vraiment plus rapide que la bicyclette ? Que faut-il penser des vélos en libre service, des vélos pliants, du vélo à assistance électrique ? La multiplication des pistes cyclables suffit-elle à relancer la pratique ?
Retraçant le parcours de la bicyclette, depuis la draisienne du XIXe siècle jusqu’aux prototypes du XXIe, en s’intéressant à son environnement économique, culturel et social autant qu’à ses aspects techniques, Frédéric Héran raconte avec talent une autre histoire des déplacements urbains.
Alors qu’il triomphait dans les années 1920-1930, le vélo a été chassé des villes européennes dans les années de croissance d’après-guerre. Dès les années 1970, et contre toute attente, la bicyclette a pourtant réussi son retour progressif en Europe du Nord et dans certaines villes d’Italie. Mais la France et d’autres pays ont raté ce tournant.
Analysant les politiques de déplacements urbains à travers l’Europe, l’auteur montre que la modération de la circulation a joué un rôle déterminant dans le retour du vélo. Demain, la bicyclette pourrait devenir un moyen de locomotion indispensable pour contrer les effets de la crise économique et écologique. Et contribuer à faire de la ville un espace égalitaire et convivial.

À propos de l’auteur

Frédéric Héran est maître de conférences en économie à l’Université de Lille 1, chercheur au Centre lillois d’études et de recherches sociologiques et économiques.

La casquette belge … une fois

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Bike Café

La casquette de vélo est devenue un accessoire vestimentaire bien codé qui affiche des “marqueurs” vintage assumés. Au delà du vélo cette casquette est devenue tendance. On peut en voir des versions “chicos” portées par des bobos à la mode ou encore trouver quelques versions publicitaires qui rendent bien service sur les chantiers portées par des travailleurs soucieux de se protéger du soleil.

Cette casquette était appréciée dans les années 70 – 80 par les annonceurs. L’arrivée de la télévision qui diffusait en gros plans les visages des champions en plein effort était une excellente opportunité pour la “réclame” de l’époque. L’arrivée du casque dans le milieu cycliste a un peu tué cette poule aux oeufs d’or.

Le retour de la casquette

Du premier coup d’oeil vous êtes nombreux à pouvoir identifier de façon évidente une caquette de vélo … Mais connaissez-vous la casquette belge ?

Ce n’est pas une blague, et en évoquant cette casquette je n’ai absolument pas dans l’idée de vous entraîner dans une histoire belge qui pourrait être dans le style :

  • – Comment reconnaît-on une casquette belge ? …
  • – Et bien : elle est noire, jaune et rouge … et elle donne la frite à ceux qui la portent … (rires … enfin peut-être !).
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Dans MASH le Caporal Walter O’Reilly dit « Radar » porte une casquette qui pourrait être l’ancêtre de la casquette Belge portée en hiver par les cyclistes

Pour Yann, l’auteur du blog “le velomane vintage”, qui a consacré plusieurs articles à ses casquettes belges, elle est dans sa forme plus proche des “Jeep Cap” que portaient les soldats américains en 1942. C’était un bonnet de laine avec une petite visière et des rabats pour protéger les oreilles du froid. Ceux qui ont vu le film M.A.S.H se souviennent peut-être du Caporal Walter O’Reilly dit « Radar » qui portait en permanence ce couvre-chef.

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La collection de Yann – photo ©levelomanevintage

En voyant les images des reliques de nos collectionneurs (Yann et Émile), les jeunes cyclistes vont sans doute ouvrir de grands yeux étonnés. Pour les plus anciens comme moi, elles nous ramèneront aux années 70 : une époque où l’on ne mettait pas de casque et que, pour se protéger du froid, nous utilisions ces casquettes d’hiver avec des rabats sur les oreilles.

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La collection d’Émile Arbés – photo ©EA

Pourquoi belge ?

La question reste ouverte … et aujourd’hui je n’ai que des hypothèses à vous proposer. Cette casquette avait des aficionados en Belgique dans les années 70 auprès de son important contingent de coureurs dont le célébrissime Eddy Merckx. Le climat belge étant particulièrement frais, le port de cette casquette d’hiver était plutôt recommandé sur les routes du nord. Ce qui aurait faire dire aux observateurs que c’était une “casquette belge”.

Une autre hypothèse, toujours suggérée par Yann, serait celle de la provenance. En effet, sur l’étiquette intérieure d’une de ses casquettes marquée Campagnolo, il est indiqué “Made in Belgium”. Dans les années 70 les fabriques de bonneteries étaient nombreuses dans le nord et en Belgique … elles n’étaient pas encore toutes parties en Chine.

Si vous avez une autre explication sur l’étymologie du qualificatif de ces casquettes je suis preneur et j’attends vos commentaires sur cet article.

Belge toujours

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Maintenant et dans les années 70 … à part la moustache rien à changé (ou presque) : j’utilise toujours une casquette belge, sauf qu’elle est plus classe que mon horrible bonnet vert : celle là c’est une Rapha – photo ©BC

Certaines marques nous proposent toujours des modèles de casquettes belges ou plus généralement nommées casquettes d’hiver. Parmi les marques dont je suis fan il y a la marque Rapha. C’est ce modèle que je porte l’hiver faute d’avoir gardé mes anciennes casquettes comme Émile et Yann.

Parmi les marques qui font survivre ce concept de couvre-chef hivernal en le modernisant, j’ai trouvé également (prix moyen 30 €) des casquettes belge “like” chez Castelli, Mavic (Roadie H20), Santini SMS (Cap UCI), Pedaled, SealSkinz, … D’autres marques ont choisi l’option bonnet à mettre sous le casque … c’est bien aussi mais je dois dire que la petite visière c’est bien plus classe et surtout bien plus pratique pour couper le vent ou pour servir de pare-soleil à la lumière rasante d’hiver.

Mettez vos têtes bien au chaud casquettes belges ou pas …

Remerciements à Yann (voir son très intéressant site) et à Émile le collectioneur qui m’ont confié leurs photos.

 

3 mois pour mieux grimper à vélo

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Voilà un guide bien utile à l’approche de la saison estivale qui sera propice à la réalisation de vos projets de grimpe de cols cet été. C’est une grande tendance, et désormais les cyclistes des plaines comme ceux des montagnes ne résistent pas à l’appel des sommets pour inscrire à leur palmarès les montées de nos cols célèbres.

Bike CaféLa saison des grandes épreuves cyclos approche avec l’Étape du Tour, la GFNY Mont Ventoux, Marmotte, Granfondo Alpes et Pyrénées … Les initiatives de “fermeture” aux voitures selon un calendrier précis participent également à cet engouement pour ces ascensions. C’est le moment de se préparer pour aller grimper des grands cols mythiques comme l’Izoard, le Galibier, l’Iseran, la Bonette…

Dans le guide « 3 mois pour mieux grimper à vélo » Fréderic Hurlin, Diplômé d’État, coach sportif, spécialiste des sports d’endurance et de la physiologie de l’exercice, a conçu un programme d’entraînement spécifique, complet et concret pour ceux qui veulent progresser à vélo en montagne et enchaîner plus facilement les cols.

Gravir des cols avec 2 000, 3 000 mètres, voire plus, de dénivelés positifs dans la journée ne peut se faire sans un entraînement spécifique et un travail qualitatif avec un travail de la force, de la vélocité, de la PMA, de l’endurance, de l’explosivité …
Ce guide propose un programme d’entraînement complet sur 3 mois. Il contient le déroulé technique à suivre semaine par semaine qui permettra de progresser pour défier les lois de la gravité et mieux grimper les cols à vélo.

Ce guide s’adresse aux cyclistes amateurs ou compétiteurs avec un programme conçu pour s’adapter à chaque niveau et aux différents emplois du temps.

Informations

  • Titre : 3 mois pour mieux grimper à vélo
  • Auteur(s) : Frédéric Hurlin
  • Editeur : disponible en téléchargement sur support numérique dès à présent sur les plateformes Apple, Fnac et Amazon à partir de 12,99 €.
  • Prix TTC : 12,99 €

Pitch de l’éditeur

Parce que la progression passe par une planification et une méthode, « 3 mois pour mieux grimper à vélo » propose un plan d’entraînement précis et détaillé sur 3 mois à l’aide d’outils opérationnels et concrets. Le programme se décompose en trois temps pour chacune des séances ; un objectif, un corps de séance et sa mise en oeuvre concrète. Cette méthode s’adapte selon l’emploi du temps et s’adresse à la fois à l’amateur, qui y trouvera un déroulé technique pour s’entraîner, et au compétiteur plus expérimenté cherchant à dépasser ses meilleures performances. L’objectif reste de pouvoir tenir la distance, accroître ses capacités physiques et ainsi se dépasser en allant jusqu’au bout de soi-même dans l’ascension

À propos de l’auteur

Fondateur d’Azur Performance, Frédéric Hurlin est Diplômé d’État (Universités de Nice et Bordeaux) et spécialiste des sports d’endurance et de la physiologie de l’exercice. AzurPerformance propose aussi des stages d’entraînement et de la vie en altitude alliant entraînement en montagne et en salle hypoxique

Eddy : ma saison des classiques en version 1973

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Admirateur de longue date du “Grand Eddy” j’attendais la parution du livre de François Paoletti avec impatience. Je connaissais François, et sa quête incroyable, au travers d’un article lu dans le magazine 200. Le projet m’a séduit : “Gonflé le mec !…” : refaire à vélo les parcours des grandes classiques gagnées par le “cannibale”. J’étais un peu méfiant quand même car on voit trop souvent paraître à l’occasion des fêtes des projets opportunistes autour de nos “vieilles” idoles, ressorties de la naphtaline …

Lorsque j’ai reçu le bouquin j’ai été immédiatement rassuré par le contenant et le contenu. Il faut dire que je suis de la même génération qu’Eddy, et à l’époque de ses grandes victoires j’étais également cycliste et je mesurais, en le voyant sur le petit écran, la classe qui était la sienne. Un type qui lâche un à un et sur le plat des “morts de faim” accrochés à sa roue arrière ne peut être qu’un “sur-homme”. Sa soif de victoires et son perfectionnisme dans le domaine mécanique m’ont marqué et depuis je n’ai rien retrouvé de comparable dans les générations qui ont suivi.

Track & NewsMais revenons au bouquin de François … J’ai énormément apprécié sa façon d’accommoder subtilement les extraits de presse de l’époque et le récit de l’aventure qu’il vivait sur la selle de son vélo pendant ces périples au goût de pèlerinage. J’ai retrouvé, aux côtés de citations de Léon Zitrone, Jacques Godet, Luis Ocana, Laurent Fignon, Antoine Blondin, Jacques Anquetil, … l’ambiance de l’époque et le sentiment d’admiration générale que suscitait ce champion discret. Les allers et retours du livre, entre les époques sont parfaitement mis en valeur par la maquette. Le récit de ces étapes pourrait être lassant, surtout sur les parties plates de certaines épreuves, mais François sait relancer du braquet littéraire quand c’est nécessaire. On apprend beaucoup de choses dans cette chronique du cycliste qui voit défiler à la fois les paysages et les souvenirs.

L’avantage du livre de François est que vous pouvez le lire de façon non séquentielle, par épreuve, et passer ainsi de Milan-San Remo à Paris-Tours.

Un beau bouquin à offrir pour les fêtes à un ou une cycliste de n’importe quelle génération car Eddy sera éternel comme tous les gens de talent.

Informations

  • Titre :
  • Auteur(s) : François Paoletti
  • Editeur :Rossolis
  • Site web éditeur :http://www.rossolis.ch/
  • Nombre de pages :240
  • ISBN :978-2-940585-03-8
  • Date de publication :20/11/2016
  • Prix TTC :33 €

Pitch de l’éditeur

L’auteur, la quarantaine et cycliste amateur, s’élance un beau jour sur les traces du grand Eddy Merckx, avec cette intention très singulière : prendre la roue du champion, à vélo, avec plus de quarante ans de retard… Le temps d’une saison, de mars à septembre, il va s’attacher à faire revivre les plus grandes courses d’un jour de l’histoire du cyclisme, dans leur version de l’époque, celles de l’année 1973, lorsque le héros que l’on surnommait « le Cannibale » était à l’apogée.

Milan-San Remo – Le Tour des Flandres – Gand-Welvelgem – L’Amstel Gold Race – Paris-Roubaix – La Flèche Wallonne – Liège-Bastogne-Liège – Paris-Tours – Le Tour de Lombardie

Au fil des « courses », l’approche de l’auteur et sa relation avec le champion se précisent, son parcours sur les tracés de 1973 devient une aventure, des rencontres se nouent, l’auteur observe le monde qu’il traverse mais réfléchit aussi à ce qui se passe en lui. Un voyage sportif et en même temps spirituel, le dialogue à distance avec le champion se transforme en un dialogue avec soi-même. À distance, vraiment ? Jusqu’à l’improbable rencontre…

À propos de l’auteur

« Un jour, presque à l’insu de mon plein gré, je me suis retrouvé le cul sur une selle à traverser la France. De Nemours à Béziers. Des blés du Gâtinais aux vignes du Languedoc. Un vieux rêve de gosse accroché l’été aux retransmissions du Tour de France. Le fantasme du pré-ado que j’étais, qui s’inventait en Bernard Hinault sur un Gitane semi course bleu que m’avait offert mon père, et dont pour rien au monde je me séparerais. »

Track & News

Après quinze années passées dans l’univers du marketing, François Paoletti voulait écrire et faire du vélo et, plus précisément, écrire en faisant du vélo. Son inspiration, il l’a puisée chez d’autres écrivains cyclistes et voyageurs – Louis Nucéra, Paul Fournel, Bernard Chambaz, Eric Fottorino – et l’idée de ce livre lui est venue d’un coup ou presque, un projet un peu fou et totalement inédit, c’est précisément pour cela qu’il l’a réalisé.

Un kit pour passer en single speed

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Si vous avez décidé de réaliser la conversion d’un vélo multi-vitesses pour le passer en mono-vitesse vous serez confronté immanquablement à l’alignement de votre chaîne par rapport au pédalier. Pour un bon fonctionnement de votre vélo en “single” il faudra obtenir une ligne de chaîne convenable et choisir le rapport qui vous conviendra le mieux.

Pour la ligne de chaîne (voir notre article précédent) l’une des variables d’alignement est la position du pignon arrière sur le moyeu. Concernant le rapport, ce sera le choix du nombre de dents du pignon combiné à celui du plateau. Une des solutions consiste à remplacer la roue libre multi-vitesses installée par une roue libre mono-vitesse avec le bon pignon en espérant la ligne de chaîne soit correcte. C’est rarement le cas.

Le Kit de conversion
Le Kit de conversion Point trouvé sur LeCyclo.com – photo PDM

Heureusement il existe une alternative séduisante proposée par le kit de conversion de la marque POINT commercialisé par LeCyclo.com.

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Outillage nécessaire – photo ©pdm

Il suffit de démonter la cassette de la roue libre et de la remplacer par l’empilage des entretoises et du pignon de 17 dents fourni avec le kit. Une fois le pignon en bonne place entre les entretoises, l’ensemble est serré par l’écrou crénelé fourni.

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La cassette 9 vitesses Shimano au départ … – photo ©PDM

Attention ce kit fonctionne uniquement avec les corps de cassette Shimano  de 8 / 9 / 10 vitesses. Le pignon est compatible avec les chaînes 1/2 et 1/8.

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On dévisse la cassette multi-vitesses avec la clé 12 cannelures et le fouet à chaîne – photo ©PDM
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On empile le pignon et les entretoises afin de placer idéalement le pignon dans l’alignement avec le plateau – photo ©PDM
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On referme l’empilage avec le boulon crénelé – photo ©PDM

Les corps de cassette existent sous de nombreux standards, particulièrement les anciens modèles et sont bien sur incompatibles avec cle standard Shimano.

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Voilà le résultat votre mono-vitesse est prêt à rouler … photo ©PDM

Le kit est fourni avec un pignon de 17 dents mais vous pouvez très bien, après démontage de la cassette, utiliser l’un de ses pignons de votre roue-libre. Il existe aussi un autre kit dans lequel se trouve un jeu de pignons de (14/16/18/) mais seulement 2 entretoises et sans l’écrou crénelé.

Outillage :

Pour réaliser ce montage il vous faudra un outillage spécifique :

Voir infos sur le site : Kit de transformation cassette en single speed

Gravel bike : je t’aime un pneu, beaucoup, à la folie …

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Lorsque l’on parle Gravel bike, au comptoir du Bike Café, on ne s’ennuie pas  … Les sujets abordés peuvent partir dans tous les sens : normal, le domaine d’usage des vélos de Gravel est beaucoup plus vaste et diversifié que celui de nos amis cyclosportifs. Parmi les sujets qui nous entraînent dans des échanges animés, celui du choix des pneumatiques figure souvent dans le peloton de tête. On va parler de section entre 28 et 40, de dessin de la bande de roulement, de tubeless ou pas, de résistance aux outrages qu’ils subissent, …

Quel pneu choisir ?

La réponse n’est pas simple et en dehors de l’affect que chacun peut avoir pour sa propre monte de pneumatique il convient de prendre un peu de recul par rapport à ces échanges parfois passionnés. J’aurais tendance à dire “Dis-moi où et sur quoi tu roules et ensuite on pourra parler ? …

Dis-moi où et sur quoi tu roules ? …

Le propre du Gravel : vélo polyvalent, est de pourvoir rouler sur toutes les surfaces : routes, chemins, pistes, sentiers, … Selon la proportion de type de revêtement sur lequel vous allez rouler vous avez déjà une partie de la réponse. Si vous faites généralement 70% de route ce ne sera pas le même choix que si vous faites 70% de sentiers cabossés. Si vous avez décidé de faire la French Divide, ou si vous allez de temps en temps sur les chemins dans votre coin votre choix sera évidemment très différent.

Et le 650b ? … Nouvelle tendance pour prendre du ballon : diminuer la taille de la roue et augmenter la section du pneu. On arrivera à la même circonférence mais ça changera tout. Voir notre article sur le 650b.

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Il ne faut pas se tromper dans le choix de la section – Photo ©Philou

Le pneu sans chambre “tubeless” a son “fan club” … Venu du VTT il progresse dans le domaine du Gravel et sur la route. Il faut avoir des jantes généralement “tubeless ready” aptes à recevoir ce type de pneu. Le montage est plus délicat que le pneu avec chambre mais il présente quelques avantages comme la diminution du risque de crevaison lié au pincement. Généralement, les crevaisons lentes se gèrent sans démontage grâce au préventif (liquide de colmatage que l’on introduit par la valve). Parmi les avantages, il y a aussi la faible pression de gonflage de ces pneus, qui permet d’offrir une meilleure adhérence sur les terrains difficiles, et qui apporte plus de confort. Voir notre sujet sur la réparation des “tubeless”.

Sur les hauteurs de Marseille vers la la Croix de St Marcel - photo ©Sergueï
Sur les hauteurs de Marseille vers la Croix de St Marcel – photo ©Sergueï

Sergueï qui roule sur les falaises entre Marseille et Cassis sur son antique cyclocross Alan témoigne “Vaste question ! Chacun a sa pratique, et sa vision de la chose. Personnellement, un “gravel” pour moi, c’est un vélo qui est à l’aise sur route ET sur sentiers. C’est mon seul vélo et par conséquent, j’exclus les gros crampons, qui me ralentiraient trop sur l’asphalte. Par chez moi, les chemins sont très rocailleux. Il faut donc une grosse section pour garder un peu de traction, et des pneus tubeless pour éviter tout pincement de la chambre. Avec tous ces critères, les Schwalbe G-One en 35c se sont imposés d’eux-mêmes, et je n’en suis pas déçu. Par contre la prochaine paire sera en 40c”.

Luc de son côté préfère une section plus petite : “Ma pratique étant la même que Serguei, mixte entre route et gravel, je me suis orienté vers des pneus tubeless plus fins en 33 voir 35 : j’ai opté pour les Trigger de Spé.

Mais la chambre à air a toujours ses adeptes : Sophie par exemple, qui a participé à la French Divide, nous explique son choix ” J’ai choisi des WTB Nano 40 avec chambre à air … Je n’ai pas eu de soucis, gonflés à 5,5 environ … deux crevaisons seulement … Mais le terrain était sec … Matinée humide dans les Pyrénées et là, par contre j’ai souvent glissé et chuté sur les pierres humides … Au terme des deux semaines mon pneu arrière est bien usé ( mais pas mort…).” Depuis Sophie a testé récemment des Compass Barlow en 38 sur un trajet Lille Toulouse en “tube” puis “tubeless” ( majoritairement sur routes mais aussi sur chemins….). “Je dirais que c’est un choix à considérer très sérieusement : très bon rendement sur route et un confort exceptionnel sur les parties moins “lisses” : clairement l’impression de rouler sur de la moquette … Incontournables pour qui veut rouler loin, longtemps en se ménageant ! Un peu chers néanmoins.

Peter a fait également un choix plus cramponné : “Chez moi ce sont des sentiers forestiers et un peu de graviers. J’ai choisi des Maxxis Ramblers en 40.”

Une autre tendance apparaît au travers du choix d’un couple “roues / pneus” … C’est le cas de Gabriel  “Étant en roues de 29 VTT je triche un peu. Je roule actuellement en Continental Attack : pneus de cross country car j’ai des roues Duster élite plutôt lourdes mais qui font vraiment le boulot en descente. À terme ce seront deux trains de roues : un très light avec des semi-slick pour mes longues sorties et un autre plus cramponné pour me lâcher dans le technique.

Chemins du nord - ©Manu Hus
Manu utilise comme Sophie des WTB Nano 40 avec chambre à air sur les chemins du nord – ©Manu Hus

François qui administre la page facebook Gravel France (1300 abonnés) conseille quelques pneumatiques qu’il a pu tester. Ce sont plutôt des modèles aux sections généreuses : “Rambler 40C, VEE rail 40C , WTB Raddler 37C ou 45C, WTB NANO, Clement X-plor 40C. Pour moi 38 à 45C sont les tailles idéales.

Antoine et d’autres adeptes des sorties avec une belle proportion de route … ont opté pour des Conti 4 Season en 32 qui conviennent très bien sur des parcours plus roulants. C’est également mon choix sur mes roues plus route. Pour Yan, ce seront des Challenges Chicane Pro Séries flan crème 700X33C. Pour Smolly ce sont des Yksion Elite Allroad 30 tubeless avec lesquels il a déjà fait 3500 km. Pour l’hiver il a monté des Challenge Gravel Grinder + en 33 pour un bon compromis feuilles au sol et terrain gras.

D’autres comme Gael avouent ne pas avoir encore trouvé l’idéal … Normal c’est une nouvelle pratique on s’essaye, on tâtonne, on évolue dans sa pratique, et parfois les choix du début ne correspondent plus aux terrains plus accidentés sur lesquels notre envie nous pousse.

Schwalbe Marathon+
Philipe ne fait pas du cinéma avec ses Schwalbe Marathon+ – photo ©Philou

Philippe fait un usage immodéré de son Rose. C’est lui qui a fait la belle photo que j’ai mis “à la une” de cet article. “Après quasiment 9000 km en un an, j’ai utilisé des Schwalbe racing Ralph section 33 avec chambre pendant tout l’hiver sur tout type de terrains : chemins secs et boueux (forêt et campagne), cailloux et petites routes (30%). Très bon comportement, résistants et assez confortables. À partir du printemps et avec un temps moins pluvieux je suis passé aux Schwalbe Marathon+ section 32 (avec chambre ) sur les mêmes types de parcours en région parisienne. Vraiment très bien. Il faudrait une section un peu plus large pour le confort. Je les ai utilisés sur des parcours très caillouteux, rugueux et délicats dans la montagne Cantalou, excellent rendement et bonne accroche malgré le peu de crampons. Moins confortables que les racing Ralph. Mon copain Patrice, cyclocross man de haut niveau, roule en mode gravel depuis plus de 3 ans avec. Il en est ravi : aucune crevaison. Prochainement sur les conseils de François, montage de pneus Vee rail section 40. Avec du recul et pour mon utilisation je vais privilégier la largeur de la section des pneumatiques.

Frank qui possède une sérieuse expérience du Gravel témoigne : “Je roule à 70% sur “gravel” : pistes et allées forestières avec racines, sable ou chemins à travers champs en utilisant des pistes cyclables et des routes entre les deux. J’ai commencé à rouler avec des pneus CX en 700X33 (en chambre) et j’ai vite abandonné : trop fragiles, crevaisons à répétition, manque de confort pour une utilisation pour des sorties de + de 2 h. J’ai donc adopté des pneus vtt Maxxis TREAD LITE 29×2.10 EXO Tubeless ou des Kenda Pneu FLINTRIDGE Pro DTC/KSCT 700c 40 mm. Maintenant je passe partout et je ne crève plus ….

Les fabricants de pneus s’intéressent au Gravel

Lors de l’Eurobike 2015 il fallait chercher pour trouver quelques pneus qualifiés de Gravel … Mavic s’était mis au “All Road” (voir notre article), Schwalbe proposait son G-One, … et on trouvait des pneus de CX si on voulait des crampons. En 2016 l’offre s’est largement ouverte et les pneus de Gravel étaient partout sur tous les stands.

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Hutchinson Overide monté sur un Caminade Espresso – photo ©PDM

Plus récemment au Roc d’Azur nous avons vu le nouvel Hutchinson Overide sur lequel on a roulé pour un essai du Caminade Espresso … Il sera disponible en magasin début 2017. De son côté Michelin prépare quelque chose … nous a-t-on confié sur leur stand lors du Roc d’Azur.

Le distributeur Cycletyres qui observe ce marché au travers de ses ventes en ligne nous donne son avis sur ce marché : “Le Gravel en France en est à ses débuts. Ainsi l’offre existante, assez réduite, est en train d’être étoffée car de nombreuses marques y ajoutent des produits (comme Hutchinson avec son pneu Overide). D’une manière générale la marque Schwalbe, une des premières à proposer des pneus sur ce segment, tire son épingle du jeu. Le modèle G-One est plébiscité pour son côté roulant. Le Smart Sam (plus cramponné) est également apprécié.

Quelle section choisir ? Là encore la réponse est liée à l’usage. En Gravel si on roule sur du 700 ce sera entre 28 et 40 de section et généralement la section de 32 ou 35 sera le bon compromis pour assurer du confort tout en offrant quand même un bon rendement.

Alors le pneu de Gravel idéal existe-t-il ? … Cycletyres ne le pense pas “Le pneu idéal n’existe pas encore à notre connaissance … En fonction du terrain sur lequel vous souhaitez évoluer, il faudra vous orienter sur un profil plus ou moins marqué.” 

Les pneus de “première monte”

Lorsque vous achetez un vélo de gravel le constructeur a souvent fait un choix roues / pneus pour vous et ce choix peut être dicté par des contingences de volume d’achats. Parfois, et même souvent, le choix est pertinent et on trouve souvent des Schwalbe G-One ou des Clément, qui sont de très bons pneus, montés de base sur les vélos de Gravel. Ce choix est également le résultat d’un compromis et si vous envisagez un usage très “typé” il faudra soit négocier au moment de votre achat un échange ou alors penser rapidement à changer vos “boudins”.

Certaines marques ont leurs propres “boudins”. Giant par exemple monte des Giant P-SLX 2 en 35 sur son Revolt. On a testé le vélo cet été avec 1000 km dans le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône : 0 crevaison. Specialized n’est pas en reste avec deux pneumatiques adoptés en Gravel : le Sawtooph qui est monté de base sur le récent Sequoia et le Trigger plus cranté qui se décline en différentes versions.

Généralement ces pneus de “première monte” vont vous permettre de faire vos premiers tours de roues sur vos terrains mixtes. Vous jugerez rapidement si ce choix est le bon. C’est en forgeant qu’on devient forgeron et c’est en roulant sur vos propres sentiers que vous affinerez vos choix …

En conclusion

Vous avez compris que le débat n’est pas prêt de s’interrompre. Les choix évoluent, l’offre des fabricants de pneumatiques s’élargie, … le dossier est loin d’être clos. En espérant que ce survol vous aura aidé à “défricher” le terrain. Vous pouvez continuer le dialogue sur la page facebook Gravel France ou en réagissant dans les commentaires de cet article.

Le groupe fb Gravel France

Knog pwr … une idée lumineuse

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knog pwr

La marque Knog nous a habitué à ses produits innovants au design moderne et épuré. Après avoir réinventé la sonnette de vélo, la marque australienne nous propose une lampe “outdoor” multi-usage.

pwr” (pour power) est une suite de solutions d’éclairage alimentées par la même batterie. C’est à la fois astucieux mais aussi très réussi au niveau du design.

pwr

Alimentée par la même batterie, cette suite comprend un haut-parleur Bluetooth, une lanterne de camping de 100 lumens, une lampe frontale de 300 lumens qui utilisent les mêmes pièces que l’éclairage de vélo disponible en 300 lumens et en 800 lumens.

Une batterie au coeur de pwr

La “pwrbank” est le coeur du système. Elle peut alimenter les différentes solution de la suite Knog mais également vous offrir de la charge via sa connectique USB pour vos différents produits connectés (téléphones, tablettes, appareil photos, …).

pwr

 

Un projet lancé sur Kickstarter

Si vous voulez soutenir le projet sur Kickstarter vous pourrez bénéficier d’avantages particulièrement intéressants.

Consultez le projet ici …

Devenir Addict au Gravel bike avec Scott

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Cela faisait un moment que je souhaitais chevaucher l’Addict Gravel de Scott … C’est chose faite. Ce vélo attire indéniablement l’oeil et donne envie de partir à la découverte des pistes et des petites routes. Avec un nom pareil : “Addict” on imagine qu’une fois que l’on a roulé avec, on ne pourra plus s’en passer. Il ne faut pas que je tombe dans le panneau si je ne veux pas me rouler par terre au moment de devoir rendre le vélo.

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Pendant la Gravel Roc sur le Scott Addict Gravel – photo ©Sportograf

En le voyant on peut se demander si ce vélo est bien un gravel tant sa ligne reste sportive et dénote plutôt par rapport à la famille des “graveleux” sur lesquels j’ai déjà roulé. Vous avez sans doute lu, dans nos précédents articles consacrés aux typologies de Gravel, qu’il existe dans cette famille des gènes très différents  : VTT, route, urbain, … et CX …

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photo Track & News

Ce Scott affiche clairement ses origines puisque son cadre est le même que celui du cyclocross de la marque. Il en ressort, avec le montage réalisé autour de cette base CX, un look performance très assumé. Ce vélo ne passe pas inaperçu et il plait au plus grand nombre : l’addiction commence dès le premier regard …

Coté équipement

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photo ©T&N

Là c’est un peu moins bien : le niveau des équipements est un peu en dessous car on va trouver du Shimano 105 pour la cassette et surtout un pédalier Shimano RS500 Compact, certes esthétique, mais qui dénote un peu. Cet Addict aurait mérité au moins un Ultégra au regard de son tarif. Cintre et potence sont en alu la tige de selle est en carbone le tout étant du Syncros marque appartenant au groupe Scott. Les dérailleurs sont des Shimano Ultégra, les freins sont les très bons Shimano RS685 dotés de bons disques RT99 en 160 mm. Les roues logotées Syncros sont en fait des DT-Swiss R23 spline parfaites et adaptées à la pratique du Gravel montées avec les excellents pneus Schwalbe G-One Fold – 700 x 35C.

Côté test

Pendant trois semaines de test cet Addict est passé sur tous les terrains avec pour bouquet final les 50 km de la Gravel Roc à Fréjus. Petit retour sur la taille … Ce vélo est un S (taille 52) en principe je roule sur du M et pourtant dès les premiers tours de roues je me suis senti super à l’aise sur ce vélo.

Le côté sportif de ce vélo se fait immédiatement sentir et dés que les sentiers sont roulants ce Scott file à toute allure. Il passe sans soucis des pistes à la route où la nervosité du carbone se fait sentir. Il aime un peu moins la violence des DFCI rugueuses et je dirais même qu’il n’est pas fait pour ça.

J’ai aimé le confort et la position et l’excellente tenue de route de ce vélo. Les pneus Schwalbe G-One sont très confortables et leur rendement sur route est satisfaisant. Son poids autour des 8 kg le classe dans les “poids légers” de sa catégorie.

Ce vélo est un très bon choix pour les cyclistes qui recherchent un vélo polyvalent capable de bien rouler sur route et qui acceptera de les emmener sur les chemins avec une grande sureté. Son esthétique est réussie et les réactions autour de moi ont été unanimes à ce sujet. Il peut devenir le vélo unique que l’on aimera sortir en toute circonstance.

Pour conclure la vidéo de la Gravel Roc où le Scott Gravel Addict s’est bien comporté.

Caractéristiques :

  • Cadre : Addict Gravel HMF IMP SUPERLIGHT Carbon technology Road Comfort geometry INT BB
  • Fourche :Addict Gravel HMF Flatmount Disc 1 1 8” – 1 1 4” tapered Carbon steerer Alloy Dropout
  • Dérailleur avant : Shimano Ultegra FD-6800
  • Dérailleur arrière : Shimano Ultegra RD-6800-GS – 22 Speed
  • Manettes : Shimano ST-RS685 Disc – Dual control 22 Speed
  • Freins : Shimano BR-RS685 Hyd Disc – 160 F and 160 Rmm SM-RT99 CL Rotor
  • Roues Syncros RP2.0 Disc – – Schwalbe G-One Fold
  • Pneus : Schwalbe G-One Fold – 700x35C
  • Cassette : Shimano 105 CS-5800 – 11-32 T
  • Pédalier : Shimano FC – RS500 Compact – Hyperdrive 50×34 T Black 11 Speed
  • Potence : Ritchey PRO Int. Cartridge
  • Cintre : Syncros RR2.0 – Anatomic 31.8mm
  • Selle : Syncros FL2.0
  • Tige : Syncros Carbon FL1.0 ECL 27.2 350mm – Ergoptimized Comfort Layup
  • Tailles : XS49 – S52 – M54 – L56 – XL58
  • Poids : 8.26 kg

Prix : 3999 €

Dans sa version 2017 le pédalier sera un Ultegra la roue libre et la chaine restent en 105.

Infos sur le site de Scott

Nouveautés vélo All Road

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Voici quelques nouveautés qui pourront plaire aux amateurs de Gravel bike ou aux cyclistes au long court qui aiment voyager “All road”.

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 Un Boa sur des gants chez Castelli

 

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photo ©Castelli

L’idée de ce gant est venue après la course Milan-San Remo de 2014, qui s’est déroulée dans le froid et sous une pluie battante. Les coureurs de l’équipe Castelli avaient les mains tellement trempées qu’ils ne pouvaient pas enlever leurs gants pour manger et pour changer leurs vestes.

Castelli et Boa® ont collaboré pour concevoir un gant plus facile à ouvrir et donc à mettre et à enlever.

Caractéristiques Castelli Boa

  • Le système de serrage Boa® permet une ouverture en grand pour les mettre et les enlever facilement
  • La technologie imperméable OutDry étanchéifie totalement les coutures pour rester au sec
  • Doublure polaire pour la chaleur
  • Pièces de silicone sur les paumes pour un bon grip au guidon.

Prix Public : 129,95 €

Infos sur le site

Track & NewsHutchinson roule sur le gravier avec Overide

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Hutchinson nous propose un nouveau produit orienté Gravel. Un savant mélange du savoir-faire de la marque dans le domaine de la route et du VTT. Disponible en 2 sections 35 et 38 il présente une bande roulement finement sculptée pour le rendement et des crampons latéraux qui assurent la motricité et l’accroche dans les virages. C’est la version 38 qui aura notre préférence pour une pratique sur tous les chemins.

Testé récemment sur un vélo Caminade lors du Roc d’Azur nous avons apprécié sa polyvalence sur route et sur les DFCI un peu rugueux du Var.

Prix : 35,90 € en Tubetype et de 39,90 € en Tubeless ready

Disponibilité à la vente début 2017

Infos sur le site d’Hutchinson 

 Track & NewsLa chaussure Absolute de Vittoria

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photo ©Vittoria

 

Absolute … tout un programme. Cette nouvelle chaussure de MTB associe un serrage Rotor à deux velcros. Sa semelle mixte nylon / carbone offre la rigidité nécessaire tout en permettant de marcher si il le faut.

Poids : 365g en taille 41

Prix : 259 €

Voir Infos sur le site

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Rapha : la veste “Classic” édition spéciale

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photo ©Rapha

Idéale pour vos sorties hivernales son look classique tricolore sera apprécié des amateurs de gravel comme des cyclistes qui recherchent une protection toute la journée contre le pire des éléments.

Conçue sur la base de la veste classique Hardshell elle possède des coutures scellées et un zip résistant à l’eau pour se protéger des pires conditions météo. Des poignets intérieurs en élasthanne assurent une protection contre les vents froids de l’hiver.

Elle est fabriquée avec un tissu respirant Polartec® Power Shield® qui associe chaleur, respirabilité et résistance aux intempéries et qui transfère la vapeur d’humidité produite par le corps. Elle dispose de fermetures à glissière sous les bras pour une meilleure ventilation. Trois grandes poches à l’arrière avec des trous d’évacuation d’eau permettent de ranger votre matériel. Une jupe arrière amovible à haute visibilité permet de sécuriser vos déplacements dans des conditions de faible luminosité.

Prix : 380 €

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Bombtrack : EXT un vélo de Gravel assumé

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Photo ©Bombtrack

Quel est l’usage de cet EXT ? Difficile à dire car à la vérité il est extrêmement étendu, … à vous de faire votre choix. Le EXT Hook est construit sur une base de jantes en 27,5 qui en utilisant un pneu plus large produit une roue ayant le même diamètre extérieur qu’une 700x28C. Cela signifie qu’il est possible de l’associer à de plus gros pneus avec plus de confort et d’accroche tout en conservant la géométrie d’un vélo de Gravel. Il conviendra aux cyclistes amateurs de sentiers et de grands espaces.  Il utilise des tubes en double épaisseur Columbus Cromor légers et durables. La fourche a été développée spécifiquement pour ce vélo pour offrir un dégagement du pneu important et une grande rigidité.

Le EXT est équipé en SRAM Rival 1, ses freins hydrauliques apportent une puissance de freinage supérieure pour assurer les descentes techniques plus raides. Sa construction polyvalente permet d’utiliser des roues de 700c pour un usage plus route.

Poids 11,1 kg en taille M

Prix : 2 499,95 €

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 Ksyrium Elite Disc Allroad de nouveaux sentiers pour Mavic

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photo ©Mavic

Grâce à la nouvelle Ksyrium Elite Disc Allroad, le terrain de jeu du cycliste n’a quasiment plus aucune limite Le système roue-pneu tubeless Ksyrium Elite Disc Allroad est prêt pour toutes les aventures.

Ces roues bénéficient du très bon rapport résistance / poids de la famille Ksyrium avec des jantes ISM 4D ultra légères, seulement 430 g chacune.

Adaptées aux contraintes des freins à disque elles possèdent 24 rayons à l’avant et à l’arrière pour une parfaite distribution du freinage. Le moyeu avant peut recevoir un blocage rapide ou un axe traversant 12 ou 15 mm (avec adaptateurs optionnels). Le moyeu arrière est également convertible entre blocage rapide et axe traversant 12×142 (avec adaptateurs optionnels). Ces roues sont disponibles en montage 6 trous ou Center Lock.

Compatibles XD Route avec un corps de roue libre optionnel.

Poids de la paire 1690 g

Prix : 750 €

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sept

Dajia Far Bar de Vélo Orange

Le Dajia Far Bar de Vélo Orange est un guidon aux formes élargies qui n’est pas sans rappeler celles du célèbre guidon Salsa. Confortable pour la route les mains sur les cocottes et pour les descentes sur les chemins un peu raides la largeur de sa base permettra une meilleure tenue des trajectoires.

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photo ©Velo Orange

La chute du guidon est orientée à l’extérieur de 21 degrés, la hauteur est de 110 mm et la profondeur du cintre est  76 mm. Le diamètre de serrage est de 31,8 mm.

Ce qui donne par exemple une largeur totale de 585 mm pour le modèle 44 cm, 625 mm pour le modèle 48 cm. Le poids est de 292 g

Prix conseillé : 60 €

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